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Numéro I - Regards sur la situation générale

Bonjour à vous cher lecteur,

C’est avec une grande joie que j’inaugure avec vous ce nouveau journal francophone : « The Swiss Chronicle », avec un premier article qui traitera de la situation actuelle, à savoir, à la fois des récentes mises à jour économiques du jeu (I), et des nouvelles diplomatiques importantes touchant particulièrement notre pays, la Suisse (II).






I - De récentes mises à jour économiques


Tout le monde a pu le constater, des modifications dans le module économique d’eRepublik sont intervenues. Deux mesures principales ont retenu mon attention : D’une part, le « don » de deux à trois fermes de céréales selon les cas, et d’une entreprise de nourriture à chacun d’entre nous, joueurs d’eRepublik. D’autre part, la possibilité faite aux citoyens d’un pays occupé d’acheter sur le marché de leur pays d’origine.








Ces deux mesures phares sont symptomatiques d’un profond changement du module économique déjà pensé et opéré par les administrateurs du jeu, il y a plusieurs mois de cela. En effet, cette métamorphose est une transition entre un système économique assez proche de la réalité, à savoir, avec d’un côté, des entrepreneurs disposant de capitaux financiers, et de l’autre côté, des individus vendant leur force de travail. Ces deux groupes de personnes se rencontrent sur un marché assez stable, qui s’autorégule en fonction de l’offre et de la demande de travail : B fournit sa force de travail en échange d’un salaire donné par A. Par la suite, les produits créés par B sont proposés sur un autre marché en échange d’un prix qui s’autorégule en fonction de divers variables. Ces dernières étaient définies le plus souvent par l’offre et la demande de ces produits, influencées par la guerre (région riche en ressources), les embargos commerciaux, le commerce international, etc.

Ce système économique, caractérisant pour une bonne part une sorte de capitalisme primaire, où plus simplement, définissant l’économie de marché, où les entreprises sont dynamiques ou en difficultés (il y a sans cesse des initiatives débouchant sur des succès ou des échecs voire des disparitions), était imparfait car il limitait l’intégration de nouveaux entrepreneurs, et de ce fait, réduisait quelque peu l’intérêt économique pour les nouveaux joueurs, du moins au début. Cependant, ce système économique caractérisant des sociétés industrialisées, permettait une projection assez fiable et viable à long terme sur les marchés économiques visés.

Le nouveau système économique « vendu » par les administrateurs résout ce problème, mais en créent d’autres, beaucoup d’autres.

Ce nouveau système économique dans lequel nous évoluons tous aujourd’hui est instable et primitif. C’est sûrement pour assurer une autosuffisance des jeunes joueurs que ce système économique a vu le jour. Ce système économique est primitif, car il renvoie aux sociétés tribales où l’agriculture et l’économie sont liées, trop liées. Ce système économique est dit de subsistance, car il met en relation d’une part, une agriculture vivrière d’autoconsommation (la production est consommée par celui qui la met en œuvre), et d’autre part, une économie de subsistance. La production est ici, auto-consommée par les producteurs eux-mêmes : la production n’est plus destinée ni à des manufactures, ni à la vente, ni à l’exportation.




Le titre de la mission « the daily bread » (le pain quotidien) et le contenu textuel ici présenté illustre à merveille ce nouveau module économique : « now you can make your own food ».




En outre, l’impossibilité de revendre les entreprises de matières premières est une aberration économique totale.


Ainsi, ce système économique de subsistance se distingue grandement d’une économie de marché, à la fois basée sur l’accumulation du capital pour le réinvestir, et sur la production de matières premières destinées à des industries intensives reliées entre elles par des moyens logistiques (tickets – organisations) ayant pour finalité, la commercialisation à grande échelle.

Ce système économique, proposé par les administrateurs du jeu, est théorisé à travers une vue économique simpliste basée sur la subsistance des individus producteurs, notamment avec des entreprises à dix Golds et le système du WAM (Work as Manager). Ce système pourrait avoir pour autre définition « l’entreprise individuelle d’autoconsommation » (car ici, l’économie s’exerce tout de même à travers des institutions), où l’individu est à la fois, le détenteur du capital, l’entrepreneur, le travailleur fournissant sa force de travail (sa productivité in game) et le consommateur. C’est une sorte de capitalisme artisanal, dirons-nous, car la surproduction est tout de même vendue sur un marché, permettant ainsi la reformation du « capital » accumulé qui sera plus tard, de nouveau investi dans l’économie.

Nous pourrions nous féliciter d’un tel système économique, moins complexe, souvent plus rentable, mais nous ne devrions pas le faire, car eRepublik est un jeu « multi-joueurs » et communautaire. Le propre de l’Homme, c’est l’échange, et ce nouveau système économique tue l’échange. Les liens entre les entrepreneurs ne sont plus aussi importants, car chacun peut produire les matières dont il a besoin (fin des partenariats), chacun peut produire ses produits manufacturés qu’il pourra consommer, mais consommer seul. On peut finalement dire que le système du WAM, c’est la mort du module économique originel. Plus personne n’a en effet, besoin d’acheter, car tout le monde possède déjà tout. Il n’y a plus d’économie.

Ce système économique ne sert presque à rien : il n’est plus nécessaire de s’y investir intellectuellement car il marche seul. Si les liens disparaissent, les hommes disparaissent aussi.

Comme dirait un joueur français : « Si l’on a plus besoin des autres, alors pourquoi jouer à jeu massivement multi-joueurs ? » - Copenhavn

Si les joueurs continuent, c’est parce qu’il reste encore des « niches » où chacun peut y investir son intellect et sa volonté : la politique, le journalisme, etc. Mais pour combien de temps cela va encore durer ?

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II - Des nouvelles diplomatiques importantes


L’inauguration de ce nouveau journal a presque parfaitement coïncidé avec deux excellentes nouvelles pour notre chère patrie : les libérations successives de deux de nos régions : la Suisse italienne et le Canton des Grisons qui nous ont permis de réapparaître sur la carte du monde.





Cette libération est due en partie aux soldats des pays-membres de LUNA qui nous ont prêté mains forte durant les combats : c’est ce qui a fait la différence. En effet, une tentative de RW en Romandie avait malheureusement échoué, il y a de cela une dizaine de jours.





http://www.erepublik.com/en/article/a-debt-we-must-repay-1785764/1/20

>> A Debt We Must Repay – Ice Cream And Switzerland – Penguin 4512


Cependant, la libération de l’ensemble de notre territoire n’est pas terminée : il reste à libérer la Suisse alémanique et la Romandie. Et ces deux régions sont un morceau de choix : la République de Macédoine (ARYM) qui occupe la Romandie est actuellement une des plus grandes puissances Est-européennes. Faisant partie de ONE, la République de Macédoine (ARYM) (17132 citoyens avec une croissance moyenne de 306 nouveaux joueurs par jour) possède un PIB (Produit Intérieur Brut) journalier de 16441,77 Golds. La solide économie macédonienne et sa puissante armée lui permettrait de mener des contre-offensives contre nos forces armées, tout en menant en parallèle une guerre totale à son ennemi : la Grèce (EDEN). De ce fait, nous ne pouvons tenir nos terres sans l’appui d’alliés contre ce géant qui dispose d’une aire géographique immense dont le rayonnement touche tout le bassin méditerranéen (Sardaigne, Italie, Péloponnèse, Balkans, littoral grec, égyptien et arabe, etc.)

De même, il faut nous remémorer la période de transition entre les mandats du Président Julian Anderson et du Président Becker&co (fin avril 2011). La période était parfaite, car notre pays était un et indivisible : nous venions de reconquérir la Romandie. Malheureusement, l’invasion de la Slovénie et de la République de Macédoine (ARYM) s’est rapidement propagée à l’ensemble du territoire suisse, presque sans aucune résistance, et presque sans aucune aide d'hypothétiques partenaires.





En quelques sortes, nous avions pris le partie de la solitude trop longtemps ce qui nous a amené à la défaite. Une RW sans aide, est utile pour reprendre nos régions, mais cela n’a qu’une efficacité qu’à court terme. Nous ne devons plus jamais refaire la même erreur : restez seul, car une proie isolée, est une proie facile.





Le gouvernement actuel, dont je salue vivement le travail diplomatique qui a été entamé, a su parfaitement prendre le chemin de l’alliance avec les autres membres de LUNA, mais aussi, celui des alliances diplomatiques unilatérales. C’est un choix peut-être évident, mais c’est un choix tout aussi important que celui de LUNA. En effet, nous ne sommes pas à l’abri d’un échec de l’alliance LUNA (qui d’ailleurs n'est pas une nouveauté : PACMAN), d’où l’utilité de créer des partenariats avec nos voisins, partenariats indépendants de notre alliance avec LUNA.




PACMAN (Pacific-Asian Compact for Mutually-Assured Neutrality)


Ainsi, cette alliance, dirons-nous est notre ticket de sortie, mais il est provisoire. Nous avons trop tendance à oublier que la libération de notre pays NE peut être acquise que si nous la garantissions par la conclusion d’alliances diplomatiques militaires avec d’autres puissances. D’où l’intérêt que la Suisse a à garantir la stabilité de ses frontières en s’alliant par exemple, avec ses voisins, mais aussi, tout en restant dans LUNA. Le jeu des alliances avec nos voisins est peut-être plus long, mais sûrement plus efficace : nos voisins disposent de plus de ressources, de forces armées que les pays formant l’alliance LUNA.





De toute manière, nous devons transmettre un signal fort à nos ennemis et à nos envahisseurs potentiels : nous devons être déterminés à garantir notre territoire indépendant et souverain.











En ce début de semaine, j’ai souhaité interviewé notre Président Becker&co. Il succéda fin avril 2011, au Président Julian Anderson, dans un moment fort difficile où nos régions furent envahies par la Slovénie et la République de Macédoine (ARYM). La fin de son mandat approchant, j’ai voulu prendre la température d’un président qui montra son efficacité dans les négociations diplomatiques pour nous sortir de ce bourbier militaire, et qui se montra volontaire pour réformer notre pays, malgré certaines oppositions politiques.





The Swiss Chronicle – Tout d'abord, quel est votre sentiment après cette victoire en Suisse italienne ?

Président Becker&co - Je suis vraiment content d'avoir retrouvé une partie de notre pays : nous l'attendions tous. Mon équipe gouvernementale et moi, nous avions beaucoup travaillé pour trouver une solution diplomatique. Hélas, l'occupation actuelle est arbitraire et non négociable : la RW était donc inévitable pour la souveraineté de notre pays et la liberté du peuple suisse. Cependant, restons concentrés après ce moment de joie, le problème n'est pas réglé et il faudra toutes les forces et toutes les disponibilités pour trouver des solutions viables pour la suite.

The Swiss Chronicle - Allez-vous poursuivre les guerres de résistances avant la prochaine élection présidentielle ? La reconquête des régions suisses étant une des clefs de votre réélection.

Président Becker&co - L'essentiel c'est de trouver une solution diplomatique avec la Slovénie et la République de Macédoine (ARYM). Nous ne sommes pas en mesure de nous protéger face à une contre-attaque d'un NE, et le lancement d'une RW au frais de l'État ne résoudrai pas le problème. Si la situation persiste, nous ferons en sorte de libérer notre pays avec nos alliés. La reprise de nos régions n'est en aucun cas de la pub’ pour ma réélection... Je fais mon maximum pour que le peuple suisse puisse retrouver son pays et son confort dans ce jeu. Je suis conscient que mon programme de départ ne sera pas totalement remplis lors de la fin de mon mandat : la guerre avec la Slovénie à rapidement modifié mes priorités et que je pourrais prétendre à un deuxième mandat pour finaliser mes projets pour la Suisse. Cependant, je vous annonce que je ne me représenterais pas. Je resterai actif dans la vie politique suisse mais dans d'autres domaines.

The Swiss Chronicle - La reconquête de la Romandie, actuellement détenue par la République de Macédoine (ARYM) n'était pas à votre programme, allez-vous l'inclure ? D'ailleurs, pensez-vous avoir le temps de reconquérir entièrement les territoires suisses occupés par l’ennemi, avant le 5 juin 2011 ?

Président Becker&co - La situation actuelle m'oblige à vous répondre que malheureusement, nous ne retrouverons pas, sauf imprévu, la totalité de notre pays avant la fin de mon mandat. Cela demande du temps et beaucoup d'organisation, même si je ne vous cache pas que je suis actuellement en négociation avec ONE pour reprendre rapidement la Romandie.

The Swiss Chronicle - La victoire de notre résistance en Suisse italienne a été permise grâce à l'intervention de soldats des pays membres de LUNA (Israël, Malaisie, Philippines, etc.) comme le rappel Penguin4512 dans son article "A Debt We Must Repay" in Ice Cream and Switzerland : http://www.erepublik.com/en/article/a-debt-we-must-repay-1785764/1/20 , mais quelle stratégie allez-vous adopter avec les pays non-membres de LUNA, comme la France, pays qui pourrait éventuellement nous aider à libérer notre pays ?

Président Becker&co - Depuis le début de mon mandat, mon équipe et moi-même, nous avons parlé avec plusieurs pays comme la France, l'Italie, le Canada mais encore l'Espagne, où nous entretenons une entente cordiale et pour certaines, amicales. D’ailleurs, notre première RW à été organisée avec l'aide de la France et du Canada. La priorité est donc de nouer des relations privilégiées avec nos pays voisins et d'accentuer une communauté soudée.

The Swiss Chronicle - Allez-vous poursuivre "l'alliance" LUNA si vous êtes prochainement réélu ? Ou avez-vous d'autres projets diplomatiques pour la Suisse ?

Président Becker&co - Le pays a adopté démocratiquement, à la suite d'un référendum, l'entrée dans LUNA : c'est une alliance où nous trouverons la paix dans une communauté de pays soudés par les mêmes valeurs de souveraineté. Il n'y a donc aucune raison pour que la Suisse se retire de LUNA. Actuellement, la Suisse est proche de EDEN et de TERRA, suite au problème avec certains membres ou partenaires de ONE (République de Macédoine (ARYM), Slovénie). Mais je voudrais vous réaffirmer que notre pays est indépendant et partage ses affinités non pas avec ONE ou TERRA/EDEN, mais avec des pays de diverses alliances sans distinctions.

The Swiss Chronicle - Quels sont éventuellement les autres projets sur lesquels vous travaillez actuellement (politique, économique ou même militaire ...) ?

Président Becker&co - Actuellement, je travaille sur la création de notre armée nationale sur le forum (http://forum.ehelvetia.ch) où j'ai lancé un référendum avec les membres de la Swiss Guard afin de nationaliser ou non leur milice. De plus, même si on ne me voie pas tout les jours sur #eSwitzerland, je continue de travailler chaque soirs à une résolution rapide de nos problèmes diplomatiques en parlant avec nos alliés et nos occupants sur divers channels privés et gouvernementaux.

Interview réalisé par Vincent de Clayes-Palys dans la soirée du lundi 30 mai 2011.






Avant-propos : Ayant tout récemment incorporé cette formule de nouvelles d’actualités dans ce journal, je n’ai pu entièrement la remplir de toutes les informations qui auraient pu être importantes. Cette brève d’actualités se trouvant atrophiée, contient exclusivement les informations qui m’on semblé être les plus pertinentes à l’heure actuelle.

Merci de votre compréhension,

Vincent de Clayes-Palys.


- Suisse / Résistance – Depuis quelques jours, nos forces de résistance qui nous ont démontré leur courage, ont mené successivement deux RW victorieuses, permettant ainsi de libérer deux de nos régions : la Suisse italienne et le Canton des Grisons. Les citoyens suisses doivent désormais se tenir sur leur garde et se préparer à de futures actions contre les occupants, dans l’hypothèse de nouvelles RW.

- Suisse / Politique intérieure – La Garde suisse, un de nos principaux outils de notre arsenal militaire dispose désormais d’une structure officielle. Elle fait partie des quatre unités militaires (MU) suisses. Notre Président Becker&co qui souhaite réformer notre appareil militaire souhaite incorporer la Garde suisse, milice d’origine privée (Dr. Pain) dans l’armée nationale. Cette proposition qui fait un l’objet d’un vif débat entre les intéressés, est actuellement rejetée par son leader : Dr. Pain.




- Suisse / Gouvernement : HuCard qui a récemment proposé un plan astucieux pour la reconquête de nos territoires, vient de s’autoproclamé ministre de la Défense du gouvernement de notre Président Becker&co, et ceci sans l’accord et contre le refus catégorique de ce dernier. Décision inédite dans notre démocratie, cette dernière peut témoigner d’un volontarisme exacerbé de HuCard pour réformer un appareil militaire vieillissant, mais peut aussi s’apparenter à une sorte de coup d’État dont HuCard ne peut en être excusé.




- Suisse / Élection présidentielle – Alors que le candidat du SNP (Swiss Neutrality Party) n’est pas encore officiellement connu, le candidat proposé par le SRC (Swiss Reform Coalition) pour la prochaine élection présidentielle du 5 juin 2011, est Penguin4512. Ce dernier, journaliste du Ice Cream and Switzerland vient de proposer son équipe gouvernementale qui est la suivante :

- Vice-président : Xeraes
- Ministère de l’Intérieur (de la Solidarité) : Luka Tomasevic Tomas / Srog Norkstag
- Ministère des Affaires Étrangères : HotFever / Phanes
- Ministère de l’Économie : F4uc0n / MatschMoon
- Ministère de la Défense : HuCard
- Chef des Forces Armées : Galvanie
- Département du financement des Milices : Paul Proteus

- France – Depuis quelques semaines, la France se ridiculise à lancer sans cesse des propositions de NE, sans les ratifier. Il y a quelques jours, encore, le Parlement français avait proposé la Slovénie comme NE, puis la République de Macédoine (ARYM), et enfin, avant-hier, la Belgique. Preuve d’incompétence, les élites politiques françaises sont dénuées de stratégies diplomatiques et d’assise politique suffisante pour prendre des décisions claires. Parallèlement, un congressiste français membre du parti politique « in vino veritas », Cyrano24100, a proposé, dans un manifeste politique publié sur le forum de l’eFrance, de ne ratifier aucun NE. Encore, dans le domaine des relations internationales, la France mène actuellement de sérieuses négociations avec l’Argentine et l’Allemagne (TERRA) pour s’allier avec la Bulgarie (EDEN). De même, la Russie qui dernièrement souffrent de multiples et sérieuses invasions de la Turquie et des pays baltes, entament des négociations diplomatiques avec la France sur les termes d’une alliance militaire.

http://www.erepublik.com/en/article/-rf-jc-enemy-of-the-state-1782494/1/20

>> Enemy of the State - Journal du Congrès (France)


- Allemagne – L’Allemagne qui souffrent depuis trop longtemps d’une occupation polonaise et suédoise déclenche depuis un certains temps de nombreuses RW, le plus souvent sans succès flagrants (Sarre, Saxe-Anhalt, Basse-Saxe et Brême). En ce début de semaine, l’Allemagne qui était recluse dans le Land du Bade-Wurtemberg, a entamé une suite de contre-offensives, lui permettant de retrouver dans son giron, le Land de Hesse. Actuellement, une RW est en cours en Bavière. N’oublions pas non plus leurs voisins danois sont depuis longtemps sous la botte suédoise.

- Benelux - Il y a quatre jours, un pacte d’assistance mutuelle a été conclu entre la Belgique et le Venezuela (pro-ONE). D’un autre côté, une alliance avec la Turquie (pro-ONE) a été rejetée par le Parlement belge. Aux Pays-Bas, la Pologne continue d’occuper une bonne partie du territoire. La résistance hollandaise qui souffre des faibles moyens dont elle dispose, n’a pu reconquérir que la Hollande-Septentrionale (une semaine).

- Autriche – Notre voisin, l’Autriche qui subit comme nous l’oppression étrangère est actuellement en train de livrer de grandes batailles contre la Slovaquie et la Hongrie. Depuis, peu l’Autriche qui comptait reprendre certaines de ses régions à l’Est par des RW a subie de vastes contre-offensives hongroises (Salzbourg, Styrie, Carinthie). En ce moment, l’Autriche livre bataille en Basse-Autriche contre la Slovaquie et en Burgenland contre la Hongrie.




- Pologne – La Pologne, grande puissance de l’alliance ONE (Order of the New Eworld), détient une bonne part des terres européennes slaves. Après avoir attaqué la Roumanie (EDEN), la Pologne, qui dispose désormais d’un accès à la mer Noire, est en train de livrer bataille contre la résistance ukrainienne qui compte reprendre ses terres. Recluse dans les Carpates du Sud, la résistance ukrainienne subit les lourds assauts polonais dans la seule région qu’elle contrôle. En outre, les forces armées ukrainiennes (EDEN) mènent une RW en Siverie, région qui dispose de vastes champs céréaliers.

- Pays baltes – L’Estonie, la Lettonie et la Lituanie (Alliance of the Baltic Countries) profitent actuellement de l’ambiance générale pour étendre leurs territoires autour de la mer Baltique (Finlande du Sud pour l’Estonie) et sur les plaines russes et biélorusses (Lettonie). Quand à la Lituanie, elle semble désirer reconstituer le Grand-duché de son histoire (Cf. Histoire in real life). En effet, elle dispose actuellement d’une bonne part de la Carélie, du littoral nord-russe et des terres biélorusses.




- Turquie – La Turquie, affiliée à ONE, est actuellement en train de devenir une puissance géographique au Nord de la mer Noire et de la mer Caspienne. De nombreux territoires ukrainiens et russes (TERRA) sont sous la botte turque. Actuellement à son apogée, la Turquie semble avoir triplé de taille en envahissant les terres arables russes et les plaines caucasiennes pétrolifères. Actuellement, une résistance russe est en cours dans le Nord-Caucase.




- Monde - Le président de l’Iran, M. Mehrdad-H a récemment proposé un traité de paix avec les Émirats Arabes Unis, destituant ainsi ce dernier de sa place d’ennemi naturel. Les Émirats Arabes Unis viennent d’ailleurs de l’accepter. Parallèlement, le Parlement iranien a accepté que la Chine soit considérée comme l’ennemi naturel de l’Iran. Le Président de la République de Taïwan, Mme. Sisko196 a proposé une alliance avec la Chine. Rappelons que la République de Chine (Taïwan) est en guerre contre la Corée du Sud (pro-EDEN).

- Espionnage - Dans l'Histoire d'eRepublik, l'Iran est le premier pays à avoir officialisé la pratique de l'espionnage. En effet, l'Iran fut le premier pays a avoir crée une agence de service de renseignement "Eyes and Ears of the Shah" (Aryamehr - Janvier 200😎.