The Man In Black

Day 574, 13:33 Published in France France by D43d4lus
Petit Rasta

Mes amis, pardonnez-moi pour le long (et insupportable, j'en suis certain 😉 silence qui fût le mien ces derniers temps.
Un manque de disponibilité IRL ainsi que le floodage en règle des news dû à la guerre m'a fait repousser la parution de cet article.

En tout cas, il est là! Première nouveauté, il n'est pas de moi mais de mon premier collaborateur Giovane Massena! Je le remercie d'ailleurs pour sa contribution et l' intérêt qu'il porte à mon journal.

Mais trêve de bavardages, je vous sens frémir d'impatience derrière vos petits écrans? Qui est ce mystérieux chanteur? Le suspense est à son comble (Diantre!)


"The man in black




Écrire un premier article sur un chanteur (de country!) méconnu en France , j'entends déjà les dents grincer. Je sais que ce genre est parfois assimilé à la culture beauf, dommage car ce serait passer à côté de Corsby Stills, Nash and Young, Neil Young et celui qui nous concerne: "l'homme en noir".

Mais qui est Johnny Cash? Jamais entendu chanter.

Détrompez-vous! Le cinéma et les séries américaines utilisent énormément ses chansons ou mieux, lui rendent hommage. Comme le film Walk the Line sorti en 2005, avec Joaquin Phoenix dans le rôle principal. Il m'a permis de découvrir le chanteur. Un film à voir en V.O sinon on n'entend et ne voit pas la performance de l'acteur.

Johnny Cash débuta sa carrière en 1951 et connût le succès en 1954 avec Hey, Porter. Sa voix grave et ses habits noirs entrèrent à la postérité. Mais l'album "Johnny Cash with His Hot and Blue Guitar" (sorti en 1957) fut sa consécration de en tant qu' artiste accompli, avec des titres comme I walk the line et Cry cry cry.
Mais l'homme en noir s'adonna à la "chasse aux dragons" jusqu'en 1965 (l'apanage de tous les artistes, à l'époque!), et sortit même un titre qui parle de sa dépendance: Ring of fire.


En 1968, J.Cash n'est plus l'homme du moment, la Pop made in England envahit les ondes radio. Petite anecdote:il décide de faire un concert à la prison de Folsom (chose impensable) qui commença comme tout ses concerts par Hello I'm Johnny Cash (là vous les voyez les références cinés et télés).Sa carrière déclina après, en partie à cause de sa ferveur religieuse post-addiction, mais il resta (et restera) toujours une source d'inspiration pour nombre d'artistes.


Je voudrais finir sur un album que j'apprécie énormément: The man who comes around, sorti en 2002 soit un an avant sa mort. Certaines reprises subliment leur original: Hurt (de Nine Inch Nails) ou encore Depeche Mode: Personnal Jesus. On y trouve aussi une perle à la Johnny Cash: The man who comes around.

Pour finir une dernière chanson, Solitary Man.
Merci l'artiste R.I.P."

Un bon travail que voila 🙂

J'invite d'ailleurs quiconque se sentant l'âme créatrice à me contacter pour me proposer de nouveaux thèmes musicaux toujours plus passionnants \o/

Enfin, pour compenser l'absence un peu trop longue à mon goût du Petit Rasta, je vous offre un article "interactif"!
Je m'explique: je vous propose de m'envoyer la description d'un concert qui vous a marqué, dans le bon ou dans le mauvais sens. Ainsi, je publierai un article sur le thème des lives regroupant des expériences variées et venant de plusieurs personnes. Intéressant, isn't it? Contactez-moi par MP.

Faites chauffer les claviers, je compte sur vous tous, mélomanes avertis comme spectateurs occasionnels! 😉

One Love!