L'histoire d'une guerre...[Archives rémoise] Acte 1

Day 636, 17:18 Published in France France by Angelus_Leonarth

Il y eu, à une époque sombre de notre histoire, peut être même de l'Histoire elle même, une période où l'obscurité régnait en maitre.
C'était l'âge des héros, l'âge des guerres d'expansion, l'âge ou le sang rendait nos bouches pâteuse, ou le fracas de nos os protégeais comme un charme de nécromant les frontières de notre pays.

C'était durant un long hiver. En l'an 2008 du calendrier IRL, seul fragments de l'ancien monde, que l'insidieux maléfice prenait place et s'infiltrait dans les défenses de notre nation. Telle une gangrène celui ci s'insinuait plus profondément dans nos terres, suintant des pores de notre drapeau, des collines et montagnes, des mer et rivières, des forêts et marrés...de toutes parts, sous l'étendard pernicieux de nos ennemies, la guerre ce montrait à nos yeux.

Espagne, Usa, Suède, Angleterre et Canada...Drapeaux de mort flottant à l'orée de nos campagnes.

Pourtant les anciens en parlent encore comme d'une belle journée, en ce matin du [ A cette endroit le parchemin à été détruit ] l'érection du nouvel hôpital français était enfin achevé. Grâce au savoir de nos ingénieurs, nous avions pus obtenir, enfin, un niveau de soin de qualité en ce beau pays. Oui tout semblait allez sous les meilleurs hospices lors de son inauguration...Seulement voilà...c'était le calme avant la tempête, le Paradis avant l'Enfer, le rire avant les pleures...

[ De nouveau les écrits sont brouillé par le temps et les intempéries ] C'était le feux un plein cœur de la ville. Les flammes sautaient de toit en toit, vagabondant au gré du vent qui animait le brasier. Des éclats flamboyants virevoltaient dans les cieux, emmitouflé d'un manteau de fumée d'un noir de jais. Celle ci vous encombrait la gorge et vous brulait les poumons à chaque souffle exhalé. C'était un poids énorme qui vous étreignait et vous clouait au sol. Tout n'était que cris et larmes face à l'avancer indéniable de nos ennemies. Une mer rouge recouvrait l'estuaire de Brest, compacte, impénétrable...Ce n'était pas le sang de nos compatriotes défendant la rade à coup de crosse, non c'était l'étendard Canadien qui fondait sur nous comme un tsunami de terreur sourde.

Encore aujourd'hui, à l'ombre de c'est tour de béton et d'acier, je ne peux enlever cette vision de mon âme.

En courant des les ruelles encombrer de Brest, le bitume recouvert d'une épaisse couche de cendre ou mes pas s'imprimaient, une main sur mon ventre ou coagulait mon sang, une autre tenant ma sœur contre mon flanc, j'entrevis le bout du tunnel. Un soldat de la légion sortit de nul part m'extirpa de l'enfer pour m'enfoncer dans les ténèbres des égouts...Six jours à patauger dans les déchets, les excréments, le sang, les cadavres et les rats. Six jours à retenir la bile qui me remontait le long de l'œsophage et me brulait la bouche. Six jours à refouler les relents de mort qui rongeait mon âme...Puis vint la libération.

[ Le document à été arraché mais suite à une reconstitution nous pouvons aborder la suite sans trop d'erreur ]

Nous avons été extirper du bourbier par un contingent de l'unité mobile du génie qui rebroussait chemin vers Rennes. Nous étions des centaines sur la routes à suivre le chemin de la liberté. Des centaines à tenté d'échapper au rouleau compresseur Canadien soutenue par la puissance d'Atlantis...

Durant notre exode, un communiqué par radio nous appris la perte de la Normandie et de l'Aquitaine, respectivement conquise par l'Angleterre et l'Espagne. Nos armées étaient défaites par le nombres de front ouvert simultanément...mais la France ne s'avouait pas vaincue. [ Gribouillage de l'auteur ] Soudain des avions français survolèrent nos têtes et une pluies de tractes nous recouvrit d'espoir...C'était la voix de la France, de notre présidente Elvea.
Celle ci nous encourageait à garder espoir et à combattre, à verser notre sang, à briser nos os, à ce parer de l'armure de nos rêves pour repousser l'assaillant et sauver notre patrie.

b] Fin actuel des archives en l'état [/b

Une nouvelle retranscription des archives de l'histoire de notre pays et de cette guerre seras faites lorsque de nouvelle archives auront été trouvé.

Votre serviteur,
Angelus Leonarth...