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Retour douloureux sur le sol sacré de la patrie que celui du peuple français en exil. C'est en effet dans la journée du 14 Janvier qu'affluant de toutes parts, les français ont réoccupé la capitale. La joie de retrouver une Paris française a rapidement cédé la place à un sentiment d'amertume général. Comment oublier le traité infamant qui a rendu ce retour possible?

Dans la foulée de son traité avec nos ennemis serbo-polonais de toujours, le gouvernement a officiellement réinvesti l'eLysée (en attendant que Versailles ou les Tuileries soient remis en état). Par le retour affiché aux symboles forts du pouvoir français, nos politiques espéraient sans doute faire oublier l'amertume du Diktat polonais.

Mais c'était sans compter le dévouement admirable du peuple français qui est allé en masse manifester devant le siège du gouvernement où près de 600.000 français ont su mettre de côté leurs querelles partisanes pour aller, comme un seul homme, sauver l'honneur de l'eFrance.


Brandissant torches et fourches, les français manifestent leur mécontentement devant une reine Kinea prise de court

On déplore plusieurs morts et quelques centaines de blessés parmis les manifestants comme les forces de l'ordre. Des dégats matériels également, plusieurs hauts-lieux de la magistrature ont été saccagés dont les locaux, heureusement vides, de l'ex Ministère du Lulz.

Saluons au passage cette prestigieuse institution pour le dévouement remarquable dont elle a fait preuve au service de l'eFrance et ses citoyens, et qui vient de prendre un nouveau départ. Minlulz, l'eFrance te salue!

La vague d'indignation qui a gagné les français dans les heures qui ont suivi la ratification du traité, loin de retomber, a pris de l'ampleur. La simple manifestation c'est rapidement muée en résistance armée. À l'heure où j'écris cet article, les Forces Françaises Pour l'eFrance et Par l'eFrance (FFPFPF) ont lancé une opération d'envergure pour libérer les mines d'andouillette picarde, vitales pour l'effort de guerre français.


La clef de voûte de notre industrie: L'Andouillette d'Amiens

Espérons que cette ambitieuse campagne termine mieux que les précédentes tentatives de libération de notre terre de France.


La tristement célèbre bataille d'Aquitaine: La charge française (à gauche). Les généraux serbes incrédules (à droite).






Pour conclure cet article, la rédaction de l'IV souhaiterait honorer le plus bel acte de journalisme de ce mois-çi. Pour avoir bravé la censure et l'embargo médiatique afin de mettre en garde les français du grave péril qui les menaçait, nous décernons à Saberan la Palme de l'Indignation.


Porte-la fièrement!