[interview] [fr/en] Alashtor et la Gazette d'Outre-Mer

Day 1,393, 01:49 Published in France France by jrcourtois
For english readers, the translation comes below...

Aujourd’hui dans l’eCourrier Internationnal, je vous présente un fameux journaliste en la personne d’Alasthor Andrew Emelve. C’est en effet le rédacteur en chef de la Gazette d’Outre-Mer, journal aux 65 numéros ayant obtenu un succès rapide dans le courant de l’année 2010.

1/ Cela fait bientôt 2 ans que tu joues à erepublik, peux tu nous résumer ton parcours ?
Pour commercer, je suis né en Provence Alpes Azur en 789 du Nouveau Monde alors même que la France était intégralement sous le joug des Polonais. Assez peu au courant des relations internationales de l’époque, j’ai rapidement rejoint le Canada, un autre ennemi de la France en ce temps là, avant, une fois m’en être rendu compte, de partir pour l’Angleterre.
Mais la misère économique et la fréquence des combats m’ont ensuite forcé à m’installer dans une patrie capable de garantir mon épanouissement intellectuel, physique et financier. Ce fut donc vers le Brésil que je me tournais et que je fis mes premières armes en combattant pour la France au mieux de mes capacités.
Beaucoup d’efrançais étaient dans ma situation et le sont probablement encore aujourd’hui mais les circonstances de mon exil de France ne sont plus les mêmes aujourd’hui puisque du statut de réfugié politique, je suis devenu mercenaire en quête de combat au service du plus offrant (au moins jusqu’à ce que j’obtienne la précieuse récompense !).

2/ Tu fais parti des grands noms du eJournalisme en France (avec la Gazette d'Outre-Mer), peux tu nous raconter ton expérience, comment t'es venue l'idée, ce que ça t'a permis d'apprendre, comment tu as atteint la MMM ?
L’idée de la Gazette d’Outre-mer m’est venue au cours des premières semaines de mon installation au Brésil, d’où le nom exotique de ce journal.
Dans un premier temps, mon lectorat se trouvait réduit puisque uniquement composé d’expatriés efrançais au Brésil… autant dire, peu de monde !
Il s’agissait pour moi, d’arriver à décrypter le monde dans lequel j’évoluais et d’en permettre une meilleure lecture à tous les efrançais qui comme moi, s’était réveillé dans un monde bouleversé et pas forcement très compréhensible.
Les premiers numéros n’ont pas été très suivis, le travail que je fournissais n’étant que de la mise en forme des grands évènements militaires de l’époque.
Les commentaires qui étaient fait m’ont vite fais progresser pour atteindre la rigueur qu’était la mienne au moment de gloire de ce journal au départ très provincial.
Ayant obtenu le droit de diffusion en France avec la libération partielle du territoire, mon lectorat s’est rapidement accru, boosté par la publicité et les liens utiles vers les différentes composantes gouvernementales (militaires comme civiles).
Rapidement, les critiques positives ont afflué et le nombre d’abonné à cru sans commune mesure. De quelques dizaines d’abonnés au n°6, je passais le cap du 100ème pour le numéro spécial élection. Puis la courbe s’est affolée : 200 abonnés au n°8, 300 au n°16, 400 au n°26, 500 au n°33, 600 au n°38, 700 au n°46, 800 au n°49, 900 au n°54 et enfin 1000 au terme du n°61 ! Chaque fois, le nombre de numéro avant de passer à la centaine suivante se réduisait, symbole de l’attachement qui m’était porté. Mon envie de faire partager ma vision du monde et mon décryptage de l’actualité brûlante avait porté ses fruits. La consécration journaliste vint de l’obtention du titre de mediamogul et de la récompense du Trophée du Meilleur Journal d’Information par le magazine mensuel Trophées de la Presse.
Avec une moyenne de 191 lecteurs par numéro, 9911 votes en 65 numéros, je me classais dans les 10 journaux les plus lus de France.

3/ Tu as ensuite abandonné ton journal (pour des raisons IRL, il me semble), qu'as tu fait depuis ?
C’est à la suite de mon 65ème numéro que j’ai une première fois abandonné la presse pour me concentrer sur des examens. Le temps prit chaque jour pour satisfaire mes lecteurs était désormais trop précieux dans la course aux examens. Nous sommes alors en 920 du Nouveau Monde. Par la suite, en 1111 du NM, je décidais de reprendre la production espérant rattraper l’actualité mais ce fut un défi trop important à relever. Les alliances autrefois conclues n’étaient plus, et de nouvelles échéances facultaires me poussaient à nouveau vers la sortie. Le n°60 de 1112 du NM (donc mon 67ème édition, en comptant les Hors-série) fut donc le dernier. Entre temps, la rédaction avait profité de la libération de la France pour quitter le Brésil et revenir en France, d’abord à Belfort en Franche-Comté, éphémère capitale de la France, puis Marseille, ma ville d’origine. Je regrette la fin de l’édition, mais mes objectifs avaient été atteints et je quittais le monde du journalisme sur une pente ascendante avec 1084 abonnés. Les récents bouleversements statistiques ont largement contribués à faire baisser le record obtenu à l’issue du dernier numéro. Mais le temps que je gagnais à ne plus écrire fut réinvestit dans des activités militaires puisque je suis désormais en quête de la Mercenary Medal. Un objectif succède à un autre ! J’ai donc voyagé comme jamais pour me battre aux côtés de tous nos alliés, mais malheureusement aussi avec quelques adversaires également, sans toutefois garder un œil sur la France et sa situation.

4/ As tu gardé des contacts avec les eBrésiliens ?
Avec d’une part, le déplacement de l’édition du Brésil vers la France et d’autre part, la fin de la Gazette, mes rapports avec les ebrésiliens se distendirent jusqu’à aujourd’hui, où je ne suis plus désormais la politique internet et externe de ce grand pays.

5/ Peux tu nous livrer une brève analyse de ce que tu penses de la situation de l'eMonde et de l'eFrance en particulier ?
A l’heure actuelle, mon opinion est celle d’une efrançais en exil : de la compassion pour nos compatriotes et de l’amertume concernant le sort de notre pays. Les renversements d’alliances ont complètement bouleversé le monde et j’ai assisté impuissant à l’invasion de notre pays par nos anciens alliés. J’en garde un souvenir amer et je ne l’oublie jamais quand je me bat tout autour de la planète. L’eFrance va avoir besoin des meilleurs et de son peuple pour se relever et récupérer son rang de nation puis son rang de puissance. Les epolonais ne pourront exercer leur domination ad vitam eternam et un jour prochain, l’efrance renaitra de ses cendres. Ce jour là j’espère pouvoir être aussi utile dans son redressement que je l’ai été des mois durant quand j’éduquais les jeunes à comprendre le l’emonde.

6/ As tu l'intention de peut-être un jour reprendre la plume ?
Dans l'état actuel des choses, non je ne suis pas prêt à reprendre du service mais la vie est pleine de surprises et qui sait, ça m'arrivera peut être !

English version
Today, let me present you a famous french eJournalist: Alasthor Andrew Emelve. He is the writer of the Gazette d’Outre-Mer, a french newspaper that has quickly grown during last year.

1 / It has been nearly two years you play eRepublik, can you sum up your career?
First, I was born in Provence Alpes Azur in 789 of the New World even as France was completely under the yoke of the Poles. Little aware of international relations at the time, I quickly joined Canada, another enemy of France at that time, before, after me being realized, leaving for England.
But economic misery and the frequency of fighting me then forced to settle in a country that can guarantee my intellectual, physical and financial. It was then to Brazil as I turned and I made my debut fighting for France in the best of my ability.
Many eFrance were in my situation and are probably still today, but the circumstances of my exile in France are not the same today as the political refugee status, I became a mercenary in search of combat service highest bidder (at least until I get the valuable reward!).

2 / You're part of the great names of the eJournalism in France (with the Gazette d’Outre-mer), can you tell us about your experience, how did you get the idea, what it allowed you to learn, how you reached the MMM?
The idea of ​​the Gazette overseas came to me during the first week of my installation in Brazil, where the exotic name of this newspaper.
At first, my readership was reduced as only consisting of eFrance expatriates in Brazil ... much to say, few people!
It was for me to come to decipher the world in which I was operating and to provide a better reading all eFrance like me, woke up in a troubled world and not necessarily understandable.
The first issues were not well attended, the work I provided was that the layout of the major military events of the time.
The comments were made me quickly advancing to meet the rigor that was the mine at the moment of glory at the start of this newspaper very provincial.
Having won the right to broadcast in France with the partial release of the territory, my readership has grown rapidly, boosted by advertising and links to the various government components (military and civilian).
Soon, the positive reviews poured in and the number of subscribers to believe out of all proportion. A few tens of subscribers at No. 6, I turned the corner of 100th for the special issue election. Then the curve was distraught: 200 subscribers at No. 8, 300 to 16, 400 at No. 26, 500 to 33, 600 to 38, 700 to 46, 800 at No. 49 , 900 at No. 54 and finally at the end of 1000 # 61! Each time, the number of number before proceeding to the next hundred was reduced, the symbol of the commitment brought to me. My desire to share my worldview and my deciphering of the topical had borne fruit. The consecration of the journalist came as obtaining mediamogul and reward Trophy for Best Journal of Information by the monthly magazine of the Press Awards.
With an average of 191 readers per issue, 9911 votes in 65 numbers, I fell into the 10 most-read newspapers in France.

3 / Then you have left your newspaper (because IRL, I think), what have you done since?
It was after my 65th number one first time I left the press to concentrate on exams. Took time each day to meet my readers had become too precious in the race for the exams. This was in 920 of the New World. Subsequently, in 1111 the MV, I decided to resume production hoping catch the news but it was a challenge too great to overcome. The alliances were concluded once more, and new deadlines faculty pushed me back towards the exit. No. 60 of 1112 of NM (so my 67th edition, by counting the Special issue) was thus the last. Meanwhile, the writing took advantage of the liberation of France to leave Brazil and return to France, first at Belfort in Franche-Comte, ephemeral capital of France, and Marseille, my hometown. I regret the end of the edition, but my goals were met and I left the world of journalism on the rise with 1,084 subscribers. Recent changes statistics have contributed to lower the record obtained at the end of last issue. But by the time I made was to stop writing reinvested in military activities since I am now looking for the Mercenary Medal. One goal follows another! So I traveled as ever to fight alongside our allies, but unfortunately also with some enemies, but keep an eye on France and its location.

4 / Have you kept in touch with eBrasilians?
With one hand, moving the issue from Brazil to France and on the other hand, the end of the Gazette, my relationship with ebrésiliens distends until today, when I am not now Internet policy and external of this great country.

5 / Can you give us a brief analysis of what you think of the situation of prunes and eFrance in particular?
At present, my opinion is that of an exiled eFrance: compassion for our fellow countrymen and bitterness about the fate of our country. The shifting alliances have completely changed the world and I helplessly witnessed the invasion of our country by our former allies. I keep a bitter memory, and I never forget when I swing around the planet. The eFrance going to need the best and its people to recover and recover its position as the nation and its position of power. The epolonais can not exercise their domination ad vitam eternam and one day soon, the eFrance reborn from its ashes. That day I hope to be as useful as a relief as I have been for months when I raised them understand the prunes.

6/ Do you think, that maybe some day, you will write again in your newspaper ?
In the current state of things, I am not ready to return to the media, but who kniows, life is full of surprises and maybe it can happen again !