Yes, France is alive ! - En nous, notre communauté vit toujours !

Day 810, 13:51 Published in France France by Ivan Dusaiks


The last Strike...


This night, France lost her last region. After 24h of hard struggle from all french and allied soldiers, Eden forces finally made about 2 million damages to finish our country. This means arount 7k golds, probably more, and I have to congratulate them for their victory and for this great expense, paid by some anonymous donators who probably discovered the true and original meaning of Eden : a paradise where people live in a happy harmony and enjoy the rivers of honey, milk and gold througout their lands. Of course, since we live in a modern world, this is only a capitalist paradise, so frak off harmony, love, milk and honey, and keep the change for your services.

Now, France has two option. The first one is to negociate, and if I personnaly do not feel any kind of hatred for what happened in a game, I am not ready to kills the PROGRESSO's toes for 2 or 3 useless regions under unacceptable conditions. The second is to struggle to death, to kill spanish economy, to fight in RW's we would pay with the money we stole to spanish general managers, and to be a pain for this country until their economy collapses. Well, I thought it was time for negociations, but when I saw that, even the stoic I try to be couldn't prevent from yelling to backstabbing. I can tell you now that if we are ready to make some reasonnable compromises, we will not sign any kind of treaty without at least Paris and one High wood region. I don't care the name of such a region, do what you have to do with your « allies », but you can be sure that I personnaly will lead my people to the fight until we get one. No negociations can start without that.

So, Spain, if you really want to focus on other objectives, don't try to humiliate us, we will never accept to beg for crap. Yes, France was deleted from the map, but we still have alive people ready to keep our community alive, and if you killed the country, it's just a flag, we still have the citizens, the organizations, our companies, and we will use them. All of them.

« Surrender or die », « jajaja lol i made a fart », « le fuuuuu », that's the cleverest comments I can expect from most of spanish soldiers, but Spain, no we are not dead, we have your citizens, and you cannot reach them, and if you want us to beg, if you are oppose to the true spirit of negociations, I have only one thing to say : « Spain, I challenge you ! »

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NB : Traduction très libre de la version anglaise.


Ce soir, mes amis, nous avons perdu une bataille supplémentaire. Certains jugeront que c'est la bataille de trop, peut-être que le moral dépend en fait un peu trop du nombre de points que nous occupons sur la carte. Mais nous oublions toutefois ainsi qu'il ne s'agit que d'un jeu, et d'un jeu d'autant plus particulier qu'il ne propose aucun moyen de nous faire perdre nos acquis.

Nous avons donc perdu la Haute-Normandie. Soit, et après ? L'espagne a découvert la carte american express qui fonctionne au sang de nouveau joueur broyé sous le pressoir, soit, et après ? La défaite est-elle irrémédiable ? Bien sûr que non ! Car il y a une chose qu'on ne peut nous retirer, c'est notre communauté, et, incidemment, nos statistiques. Si l'Espagne a un robinet a gold grand ouvert, nou ssommes près de 10000 français, chacun avec une stengh, tous ayant la possibilité de travailler chaque jour pour un salaire quelconque. A terre, nous ne sommes pas vaincus, et il y a quelque chose de terriblement romantique à être l'homme qui, cerné et roué de coups, se relève pour rire au nez de tous ses ennemis.

Il y a quelques heures, le ministre de la défense espagnole est venu me parler, et si je n'ai a priori rien contre des négociations de paix honnêtes et honorables, si je n'ai jamais ressenti la moindre haine, chose qui serait stupide, j'étais désespéré, tout stoïque que je sois, à la vue de leur bêtise sans nom. Ils veulent installer un hôpital en Aquitaine, ce qui semble un assez mauvais prélude diplomatique face à un adversaire qui ne lâchera rien d'essentiel. Jamais nous n'accepterons de traité excluant le retour de Paris et d'une région high wood, jamais nous ne nous laisserons fouler aux pieds par un troupeau en furie de kikoolol par trop confiants ce soir.

Si l'Espagne veut négocier, si elle veut se débarrasser du poids que nous représentons, elle ne sera face qu'à une et une seule alternative : une paix honorable, parce que jamais nous ne monterons dans le wagon de Rethondes comme d'autres vaincus le firent. Par chance, nos possessions, nos avatars, sont strictement intouchables, et s'il faut continuer la lutte jusqu'à nos derniers points de wellness, je vous promets d'être là chaque jour, sur le champ de bataille, à vos côtés dans notre lutte, et de porter à bout de bras les espoirs de chacun.

Sans être trop prudents, il nous faudra être patients. Récoltons de l'argent, économisons nos forces, il serait fort stupide de ne pas accumuler plusieurs jours de salaire pour nous battre au mieux de nos capacités ; nous devrons, nous allons, tous faire des sacrifices, dans le cas où la bataille s'avère inéluctable. Suivez les ordres de bataille, économisez vous et nous nous en sortirons tous. Nous ne renoncerons pas. Nous n'abandonnerons pas, et si nos ennemis veulent jouer de leur gloriole, au mépris de nos revendications les plus légitimes, je n'ai qu'une seule réponse à faire, et elle n'est pas négociable : Espagne, je te défie !

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