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21 Mars 2012.

Une date anodine pour nombre de personne en cet eMonde, mais au combien importante pour moi. C’est ce jour là que j’ai pris conscience de son existence.

Je suis arrivé dans une eFrance alors forte, maitresse du sud du Royaume-Unis, et en conflit avec la eSerbie dans le nord d’eItalie.

Une semaine après, Paris était aux mains des Anglo-saxons, et les Slaves étaient installés dans notre Sud.

J’ai alors pris ici la première mesure de notre vraie force : pas si terrible, en vérité.

Avec un peu d’aide de nos alliés, nous avions retrouvé nos régions assez rapidement, m’apprenant ici une nouvelle leçon des lois de cet eMonde : la guerre domine, mais la politique à l’internationale y a un rôle phare au travers de ses alliances (Terra/Eden/Teden/One…)

5 Avril 2012 : Ma première élection pour un président.

Biduloh (mon premier président d’eFrance) cède sa place à Kev2969. Il avait présenté un programme très militaire, où l’eFrance devait se libérer de ses envahisseurs (déjà fais au moment du vote d’ailleurs) mais aussi où la reconquête de nos terrains d’Albion étaient une priorité majeure à notre (sur)vie.

29 Avril 2012 : Fin de l’invasion de la Grande Bretagne ! Nous étions victorieux, puissants, craints… ou pas.

Alors que nous nous battions joyeusement contre les buveurs de thé, l’eEspagne se libérait des eUsa, l’ePologne et l’eHongrie découvraient le pouvoir diurétique de la Pils accompagnant la Sauerkraut bavaroise.

L’ennemi était à nos portes, et nous étions encore dans les brumes de Londres et de la Brown Porter.

3-4 Mai 2012 : Le début de l’Honcupation.

Kev2969, qui préparait ses cartons et son visa pour retourner aux States, voyait déjà ses rêves de grandeur bafoués par une bande d’ostrogoths hongrois, le gosier débordant de pálinka frelaté.

5 Mai 2012 : Biduloh se retrouve (encore) président de notre si beau pays, aux cépages multiples et aux houblons si fruité.

6 Mai 2012 : l’eFrance envahie la Romandie helvétique… Moi pas comprendre alors. Nous avions un ennemi installé chez nous, et nous devions nous battre contre une peuplade de pseudos-hippies, buveurs d’eau thermale de surcroit !

7 Mai 2012 : Notre capitale d’alors (Lille) se retrouve isolée du reste du territoire par un cordon très peu sanitaire d’eHongrois, trop heureux de nous enfoncer profond pour s’occuper à défendre leurs terres d’origines face à l’invasion eRoumaine (Romania, 12 points) !

8 Mai 2012 : L’eSlovénie s’invite à la partie, passant au travers de l’eSuisse qui dévoile alors sa non-neutralité et son pro-One-isme (Toujours se méfier d’un buveur d’eau !)

12 Mai 2012 : Les Anglais débarquent ! Et pas n’importe où ! Non, mon bon monsieur. Ils nous refont le coup de 44, et enlèvent le bocage normand et ses pommiers à cidre ! Heureusement, dès le lendemain, nos amis à la feuille d’érable reprennent le secteur pendant que nous chassons de nos vignobles bourguignons et francs-comtois ces tendres slovènes.

Ne restez alors plus chez nous que la horde d’Hongrois, bien décidée à prendre racine sur nos terres fertiles.

Et l’abîme s’ouvra sous nos pieds, le 18 Mai 2012. En ce jour honnis, l’eHongrie venait à perdre Central Hungary (et l’ordre était alors donné de nous battre POUR l’eHongrie dans cette bataille). Par une mécanique perverse de notre eMonde, Paris Isle of France devenait alors la Capitale hongroise… J’en frissonne encore.

Surtout que le 19, la perte de North Calais nous donnait alors à choisir une Capitale de crise. Un ordre fut lancé, et Brittany devint notre Capitale d’un jour. Dès le 20, Rhone Alps lui succédée, les hongrois ayant alors soif de chouchen et désirant découvrir le plaisir d’un bon kig ha farz, avec une part de Kouign-amann en dessert, le tout entre deux défonçages de plots tricolores.

Et oui, nous n’étions rien en face de la détermination hongroise, qui, tels des vikings brulant leurs navires, avaient laissé choir leurs froides contrées d’Europe Central pour venir s’installer avec femmes, enfants et bazookas dans nos lits et nos campagnes.

Cette période a aussi vu de nombreux ordres d’attaques aussi diverses que (a)variés, allant de la défense jusqu’au-boutiste d’une région ou de l’empêchement d’abandon de régions par l’envahisseur en tapant à sa place.

Le 21 Mai, trop confiant, les eHongrois prirent le Poitou-Charente, les mettant en contact direct avec les eUsa. Ils tentèrent de se débarrasser de cette région, mais avec un courage immense, nous avions alors réussi à maintenir ce contact en frappant fort sur le mur… pour les Hongrois (encore).

Après quelques errements, et une mission de désinformation hongroise réussie auprès du Congrès américain, l’Attaque des eUsa Dans le But de Libérer l’eFrance se déclenche (enfin) dans la nuit du 24 au 25 Mai 2012, avec comme résultat la reprise de Poitou-Charente.

Le 30 Mai, les eUsa atteignent la frontière belge, coupant en deux l’eHongrie-en-France, et nous permmettant de remporter quelques Resistance War en Franche-Comté et en Picardy.

1er Juin 2012 : Fin de l’Honcupation.

L'eHongrie perd son dernier terrain chez nous, et depuis reprend ses terres d’origines aux roumains. Joie de courte durée pour nous, car l’ePologne se décide à venir voir si nous nous souvenons d’eux (car il y a quelques années, si j’ai tout compris, l’ePologne était déjà propriétaire d’une bonne partie de l’eFrance).

Voici donc ce que j’ai retenu depuis mon éveille. Nous ne sommes pas fort, mais nous ne sommes pas les plus faibles. Nos terrains sont toujours des terres de batailles, et nos vins attirent toujours autant les étrangers.

Dans peu de temps, nous allons élire un nouveau président, une nouvelle stratégie sera alors mise en œuvre, mais un ennemi est toujours présent chez nous.

Qu’allons-nous devenir ? Quelle est notre place dans cet eMonde ? Le SM50 sera-t-il une meilleure cuvée que le SM49 ? La Com’ du Gouv’ sera-t-elle meilleure ? Apprendrais-je à ne plus faire de pavay ?

Merci d’avoir lu (oui, merci, c’est vrai quoi, c’est long, y’a pas d’image, c’est chiant aussi).

Note pour plus tard : Me faire expliquer comment insérer des images dans mes textes. Et aussi faire des liens qui renvois à d’autres articles.