Il me manque ...

Day 652, 01:40 • Published in France Belgium • by Ely.nea

Aujourd'hui, j'ai un vide dans le coeur, comme cette bulle d'air dans un sac plastique, cela fait une bulle étrange et irrégulière.



Depuis quelques temps, je parle avec une population différente, de tout de rien, souvent des bases d'un jeu. Je les ai envoyés en Asturias, mais beaucoup d'entre eux y sont encore !

Je ne peux malheureusement pas y retourner, sauf résignation de mon contrat (si mon patron est d'ailleurs d'accord, je le ferai, pour être avec eux, là-bas). Je veux être avec ceux avec qui j'ai échangé ces mails timides et parfois comiques. Une médaille "hard worker" n'est rien comparé à un manque.

Nous sommes en Efrance, nous avons rejoint notre pays, mais eux, y sont encore et peut-être qu'il serait temps qu'on aille les chercher ! Certains ont combattu de toutes leurs forces, aussi maigres soient-elles et leur wellness n'est pas terrible.



Mon projet :

Aller en "Asturias", et les rechercher du mieux que je peux. Il faut savoir que beaucoup d’entre nous, avons participé à la RW après Asturias, et cela, nous à permis de remonter notre wellness.
Pour la plupart, ils se retrouvent coinçés, sans soins et doivent être perdus, ne sachant que faire avec une mauvaise santé.

Nous nous sommes battus pour relever le défi d'un "babyboom". Nous ne pouvons pas les laisser mourir au nom d'un mur de défense que nous devions élever.

J'aimerais, votre soutien, et que vous me contactiez !
Oui, vous tous qui connaissez des personnes encore là-bas, pour que je les contacte personnellement et que je puisse les soutenir de mes faibles forces de femme.
J'ai besoin de vous, j'ai besoin d'une liste au plus complète de vos amis, que vous voyez encore en Asturias. Que je puisse les ramener au plus vite.
Fouillez votre mémoire et votre liste "amis".

Nous parlons de paix, de guerre, de trahison ! Ca serait la mienne que de les laisser, eux, alors qu'ils ont mis parfois leur confiance en moi.

Quel que soit le malheur qui nous fane,
Les pétales de notre existence profane,
Rien n’égale les valeurs de notre cœur,
C’est la seule vision d’une vie sans peur.


Bien à vous, peuple d'Efrance.



Elynea