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Compte-rendu de la Journée d'Appel de Préparation à la Défense du 17 novembre 2009.

Étaient présents : Copenhavn (MinDef), Jebbidle (CEMLE) et Maddog.

1/ Le premier point abordé par nombre de participants concernait les modalités du SM. Il a été rappelé que la motivation primait, mais que des critères de force et de disponibilité minimale étaient également requis. Une caution est également demandée. Pourquoi ? Simplement pour être sur que des joueurs mal intentionnés ne vont pas partir avec les armes qu'on leur a donné et les vendre ou les utiliser contre l'eFrance (si si, ça s'est déjà vu !). Cette caution est rendue au soldat le jour où il décide de quitter l'armée. C'est une sorte de garantie.

2/ Aussitôt s'est posée la question des déplacements, et de comment faire pour travailler quand même de façon continue. Là, c'est le principe des One Day Job (ODJ), qui a été expliqué. Certaines entreprises (françaises ou non) référencées par l'état accueillent les soldats à l'étranger, et leur permettent de travailler un ou plusieurs jours en les licenciant sur demande ou automatiquement, et ce dans les trois secteurs industriels. Cela permet de pouvoir décrocher une Médaille du Travailleur Assidu à la fin du mois, et de continuer à subvenir à ses besoins vitaux dans des pays ayant une autre monnaie que la nôtre, sans avoir à subir des taux de change.

3/ La différence entre le SM et la Conscription : Le SM est une initiation à la carrière des armes, qui permet de prendre contact avec l'armée, de tester si cela vous plait, de voir du pays en acquérant peu à peu des bases géostratégiques. Il permet également (surtout même) de se trouver plongé dans un groupe de combat, de créer des liens avec ses camarades de promotion, dans la bonne humeur et la discipline, afin de créer un "esprit de corps".
La Conscription quant à elle est un stage de formation accéléré, durant lequel les soldats sont "gavés" en armes pour prendre du galon le plus rapidement possible et se débarrasser des grades inférieurs, afin d'augmenter rapidement notre force de frappe moyenne/haute.

4/ Il a été également demandé si il y a des questions d'horaires à prendre en compte, vu que c'est un facteur de stratégie important sur eRepublik. Il est demandé aux soldats de ne se battre qu'à leur dernière connexion avant le fin de la bataille. Il arrive également que l'on organise des raids à une heure h lors de missions spéciales ou coordonnées avec nos alliés. C'est évidemment mieux si on peut y être, mais manquer un raid n'est pas la fin du monde, loin s'en faut.
Le seul corps où le critère temps va jouer un rôle quand le projet sera validé sera l'AT, mais de façon très large afin de ne pas créer de contrainte trop rebutante.

5/ Le rôle des logisticiens a ensuite été abordé, et il a été rappelé que leur travail est très important et fastidieux, mais indispensable dans le fonctionnement actuel des choses. Ils distribuent les armes, les tickets de déplacement, doivent jongler entre plusieurs organisations d'état et refaire les stocks de façon à ne jamais être à court, et ce à toute heure du jour. Il y a même des équipes de nuit ! Encore merci à eux.

6/ Les différents corps d'armée :

Le SM, la Conscription, ça mène à quoi ? A trois corps d'élite, qui voyagent beaucoup (en eChine en ce moment par exemple).
- Les Diables Bleus (ex-FuMa), composés de colonels de force 7,5 ou plus,
- Les Bérets Rouges, généraux à partir de 10 de force,
- La Légion Étrangère, nos Field-Maréchaux, à partir de 13 de force.

Ce sont les trois derniers grades de l'armée dans le jeu (d'où la répartition par grade puis force), et la progression de l'un à l'autre est plus lente. Mais ce sont également ceux à partir desquels on commence aussi à faire le plus de dégâts.

Pour conclure ce compte-rendu, je tiens à rappeler que notre armée nationale n'est pas une distribution d'armes gratuites sous prétexte de grosse force ou de gros grade. C'est avant tout un vecteur de promotion et d'égalité pour chaque citoyen, un état d'esprit égalitaire et fraternel. On y a des droits, en étant équipés pour se battre ce qui est un immense privilège, hors de protée de tellement de nos concitoyens, mais aussi des devoirs, car les uns ne vont pas sans les autres dans une démocratie. Des devoirs car c'est avec l'argent du contribuable, le vôtre, que les armes et autres fournitures sont achetés. Des devoirs car quand on s'engage c'est pour servir son epays, pas ses propres intérêts ou opinions. C'est pour cela que nous avons des règlements, qui peuvent paraitre contraignants, mais qui sont les seuls garants de la sécurité nationale et du futur de notre epays et de sa population.

(Publié par le MinIntCom)