Deux jours au PI en deux minutes

Day 1,671, 12:25 Published in France France by neo94700


Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouveau numéro du Journal Officiel du Parti Impérialiste.

Aujourd'hui un numéro qui n'était pas prévu au programme, mais qui est du à des nouvelles d'ordre exceptionnelles.



Les nouvelles donc :

Suite aux élections de Président de Parti (PP) du 25 juin 2012, Brugher a été élu à 64.86% des suffrages exprimés (74 votes). Aussitôt élu, Brugher a renommé le Parti Impérialiste (PI) en Kozak Party (Parti Cosaque, c'est du polonais), a changé le logo de ce dernier et sa description.



Plus tard dans la même journée, le PP fraîchement élu a de nouveau renommé le Kozak Party en Parti des Inactifs et en modifiant à nouveau sa description.
Enfin, coup final de ces évènements, Brugher a quitté le parti, le membre le plus haut niveau a donc été automatique élu, X le variable, un vrai membre du PI.

Au moment de l'écriture de cet article, la situation s'est stabilisée, le parti a retrouvé son nom d'origine ainsi que son logo. X le variable est un membre actif, il aide donc aujourd'hui à la reprise en main du Parti.


On peut maintenant se poser une question. Comment est-ce arrivé?

Tout d'abord, il faut savoir que Brugher a mené une campagne mensongère depuis le début, on peut voir ici, sur le site qu'il a créé pour l'occasion plusieurs indices qui auraient pu pourtant montrer ses intentions. Ainsi, plus précisément sur cette page :

On peut voir qu'un certain nombre de soutiens de joueurs connus sont annoncés, de faux soutiens très probablement.

Mais ce qui a été probablement l'élément décisif de cette campagne est l'envoi de masse de messages aux membres du PI réclamant du soutien et leur vote.


C'est tout pour ce numéro, je n'ai pas eu de plaisir à le faire, mais en tant qu'éditeur du JO du PI, je me devais d'essayer de donner le plus de détails possibles sur cette affaire.


Playlist : François Pérusse - Les deux minutes du peuple
(j'arrêtai souvent la lecture pour pouvoir écrire entre deux rires quand même)