• Traduction Fr • The Book of Dio • Chapitres 5 et 6 •

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Je vous propose aujourd'hui la 3è partie du Book of Dio traduite en Français. Cet article contient les chapitres 5 et 6.

The Book of Dio, traduction en Français

Sommaire :

http://img8.imageshack.us/img8/405/testjpi.png" width="13px" height="13px" /> Chapitre 5 : La Terre Promise
http://img8.imageshack.us/img8/405/testjpi.png" width="13px" height="13px" /> Chapitre 6 : Les Chroniques Métaphoriques

Chapitre 5 : La Terre Promise

Peu après le retour de Dio, ses milliers de fils arrivés en Terre Sainte s'établirent dans les régions pakistanaises. La vie fut à nouveau sereine, bien que différente de ce qu'elle fut durant l'époque de Paix.

Sous la sagesse infinie de Dio, les pakistanais bâtirent une société juste, sans faim, ni pauvreté, ni besoins insatisfaits, ni hérésies. La vie fut à nouveau sereine, bien que différente de ce qu'elle fut durant l'époque de Paix.

Guidés par la lumière de Dio, et commandés par la voix de Falcon, le Pakistan devint la plus grande civilisation que le monde eut jamais connu. Des centaines de fidèles de Dio travaillaient dans l'unité afin de créer l'harmonie et l'égalité. Quand les 4 régions pakistanaises initiales de la Terre Sainte devinrent trop peuplées pour assurer le bien-être de leurs habitants, Dio, dans toute sa sagesse, créa une nouvelle région de sable : Srinagar. Bientôt, cette terre fut, elle aussi, comblée de tout ce dont ses laborieux citoyens avaient besoin. La vie fut à nouveau sereine, bien que différente de ce qu'elle fut durant l'époque de Paix.

Dio avait vu tout cela, et le permit car c'était bien. Après quelques temps cependant, son grand coeur commença à souffrir. Bien sûr, la terre qu'il avait donné à ses enfants étaient bonne et riche, et bien sûr, elle faisait la jalousie de tous les hérétiques qui l'avaient abandonné des années auparavant, mais était-il juste que des innocents puissent vivre hors de ce glorieux pays ? De nouvelles nations se formèrent depuis le jour où il s'adressa aux espagnols, aux iraniens et aux indonésiens. Était-il juste de les ignorer, eux qui n'avaient jamais rejetés Dio puisqu'ils ne l'avaient jamais connu ? Et plus important encore : était-il juste que ces fidèles fils du Pakistan ne puissent jouir de la Paix dans le strict sens du terme ? Dio connaissait les réponses à ces questions avant de connaître la question elle-même. Le temps était venu d'instaurer la Pax Pakistana dans le monde. Le temps était venu pour la vie d'être, à nouveau, aussi sereine qu'elle l'avait été durant l'époque de Paix.

Chapitre 6 : Les Chroniques Métaphoriques

Sous-chapitre 1 : le pauvre homme

Une seule et unique route mène à l'élévation, et c'était sur cette route qu'un homme pauvre et sans domicile vivait. Lui aussi était sur le chemin de l'élévation et avait besoin d'aide. Sur ce chemin passait beaucoup de monde. Commerciaux, travailleurs, soldats. Des hommes de toutes classes et cultures y cheminaient.

Quand une 1ère personne passa, le pauvre homme lui demanda son aide. L'homme était un espagnol. Il lui offrit son aide mais le laissa tomber aussitôt. Ce... Ce... DOUBLE-SPANIARD [ndt : équivalent de pingouin, ou sapin]. Puis il continua son chemin, riant du malheur du pauvre homme.

Quand une 2ème personne passa, le pauvre homme lui demanda son aide. L'homme était un suédois. Il frappa le pauvre homme et lui infligea la bastonnade. Il ordonna au pauvre homme de ramper au fond d'un gouffre et de s'y laisser mourir. Puis il continua son chemin.

Quand une 3ème personne passa, le pauvre homme lui demanda son aide. L'homme était un indonésien. Il lui offrit son aide, mais ne put que le soutenir sur une courte distance car il n'était pas assez fort.

Quand une 4ème personne passa, le pauvre homme lui demanda son aide. L'homme était un pakistanais. Il lui offrit son aide. Tout d'abord, il lava les pieds du pauvre homme, il le nourrit et lui donna de l'eau, il lui offrit un abri, et il le soutint jusqu'aux portes de l'élévation.

Ce fut arrivé à ces portes que le pauvre homme révéla sa véritable identité. C'était notre immortel God-Emperor, Dio Brando : "Mon ami pakistanais, tu t'es révélé comme le plus valeureux des hommes. Toi et ton peuple est et serez toujours mes enfants bénis." Et alors qu'il prononçait ces paroles sacrées, le God-Emperor enfourna un cigare dans la bouche de l'homme, remonta en direction des cieux et saisit l'univers. L'homme qu'il bénit ce jour-là n'était autre que Commissiro El Cigar.

Ce fut à ce moment que Commissiro El Cigar accepta son rôle sous le reigne du God-Emperor. il devait parcourir le monde et répandre les mots du seigneur, du sauveur, du père, notre saint et immortel God-Emperor Dio Brando. Il franchit alors les portes de l'élévation.

Sous-chapitre 2 : Enrichir les terres

Commissiro El Cigar accepta son rôle. Hélas, il avait mâché son cigare jusqu'au bout. A ce moment, il entendit une voix venant de l'au-delà : "Laisse choir ton mégot". Il fit comme la voix le lui ordonna, bien qu'il hésita à laisser tomber le saint artefact au sol, et ce même si ledit sol fut pakistanais.

Dès que le cigare de Commissiro El Cigar toucha le sol, celui-ci s'y s'enfonça. Soudain, le sol sous lui commença à trembler. Il recula de quelques pas et vit une plante pousser lentement à l'endroit exact où était tombé le mégot. Elle grandit ensuite très rapidement, et se noircit pour former un épais et solide tronc d'arbre. Son feuillage était marron et des cigares pendaient des branches. L'odeur fut pour lui un délice, et il vit le second miracle du Seigneur, Dio Brando.

Le 1er arbre à cigares. Il s'en rapprocha pour étudier ce miracle et vérifier que ce ne fut pas une hallucination, comme cela était commun d'en avoir dans les chauds espaces pakistanais. A nouveau, il entendit une voix retentir en lui : "Va et répand la fortune."

Et il le fit. Commissiro El Cigar voyagea à travers les contrées, répandant la parole de Dio Brando et enrichissant les terres grâce au divin présent. A l'inverse des cigares et cigarettes des autres pays d'hérétiques, le cigare pakistanais est pur. Chaque cigare a un goût unique qui diffère selon les régions. Grace à ce miracle, le peuple du Pakistan put vivre riche et heureux.

Sous-chapitre 3 : La grâce de la charité

Un beau jour, un homme arriva dans un village pakistanais. Cet homme venait de Suède. Il entra dans le village, son origine visible comme le nez au milieu de la figure, et les rumeurs ne tardèrent pas à fuser qu'un suédois était entré dans le village. Quand il fut entré dans le village, il s'attendit à subir les hostilités de la population, mais au lieu de cela, il fut accueilli chaleureusement, avec affection.

Il fut invité dans la 1ère maison, et fut accueillit par de la musique et des danses. Les gens étaient souriants et prévenants avec lui, lui donnant des boissons. Choqué et confus, il quitta la 1ère maison.

il fut ensuite invité dans la 2nde maison, où un grande festin lui avait été réservé, de grandes tables étaient dressées autour desquelles étaient assises des familles, souriantes, répandant la joie dans le coeur du suédois. Confus mais intéressé, il quitta la 2nde maison.

Il fut invité dans la 3è maison, dans laquelle il put sentir le délicieux fumet des cigares pakistanais, la fragrance toucha son esprit et emplit ses poumons, lavant son âme de tout soupçon de haine et de crasse. Il n'était plus choqué ni confus, il était simplement intéressé et enchanté, bien qu'il quitta la 3è maison.

Enfin, même suédois souriait, pendant qu'il descendait la route principale du village. Ce fut à la fin de cette route, sur le bas-côté, qu'il vit un arbre gigantesque. Ce fut sous cet arbre qu'il s'assit, ferma les yeux, et qu'un miracle survint. Les cheveux de l'homme devinrent noirs, une barbe sombre poussa sur son visage, et quand il ouvrit les yeux, ceux-ci n'étaient plus bleus mais noisette. Les personnes qui l'approchèrent étaient troublées et choquées, et s'agenouillèrent en hommage à l'immortel God Emperor.

Le neo-pakistanais regarda autour de lui et vit ces gens modestes. Il regarda à sa droite et vit un glorieux et divin visage, tant empli de grâce et de beauté que cela l'aveugla. Il ferma ses yeux pour les protéger, et quand il les rouvrit, le visage était parti. Ce fut à cet instant qu'il trouva la rédemption.