[Journées Dégustations] Le CDVCD et l'économie

Day 1,073, 06:01 Published in France France by Gaunoob


Voilà bien longtemps que le CDVCD n'avait publié d'article à visée économique, et c'est donc chose corrigée aujourd'hui. Dans cet article cependant, ne vous attendez pas à être abreuvé de chiffres, de stats, ce n'est ni un bilan, ni une opération économique, tout au plus une déclaration d'intention, un récapitulatif des préceptes économiques prônés par le CDVCD et qu'il vise à mettre en place.

Le CDVCD n'a pas d'idéologie économique, et c'est bien la première chose qu'il faut noter. Il n'est ni libéral, ni protectionniste, ni keynésien, ni hubertien. Il vise toujours à agir en fonction des données réelles, et n'est pas guidé par un quelconque dessein pré-défini. Cependant, sa politique économique est marquée par des règles qu'il est important d'avoir à l'esprit tout au long de cet article. En premier lieu, le CDVCD aime la démocratie (pas vous ?), et en particulier une séparation des pouvoirs efficace, et une transparence complète. Ensuite, le CDVCD cherche à encourager l’investissement des jeunes citoyens, car ce sang nouveau nourrit l’économie et la dynamise. En effet, les vieux cons qui ont une richesse importante se lassent souvent de leur rôle de GM et laissent leur boîtes en jachère. Je pense en particulier à erey (), j'y reviendrai. Dernier pilier économique du CDVCD, la part belle donnée au partenariat, qui permet d’avoir plus rapidement des projets plus ambitieux, et plus efficaces, que seul. Je vais reprendre ces trois points de manière plus approfondie dans la suite de cet article.



1. De l’intérêt des partenariats économiques


Mutualiser ses efforts ne peut ainsi qu’être bénéfique, que ce soit au niveau individuel via des orga gérées en commun, ou au niveau étatique avec des partenariat poussé avec des pays amis, comme ceux que le projet Euralliance tente de créer. De telles interdépendances sont bénéfiques à tout point de vue, mettant en place une entrée dans la communauté et personnellement, c’est comme ça que j’ai tenu durant la v2, sinon il est fort probable que je ne serai plus là, mon associé m’aidant à tenir le coup. Et au niveau étatique, il me faut vous rappeller qu’IRL, l’UE est partie de telles interdépendances éconmiques, et c’est un des objectifs d’Euralliance. C'est dans ce but qu'a été créé l'eMedef, et il faut encourager les nouveaux arrivants sur le jeu à inviter un ami IRL au moins, afin de créer un esprit de corps, c'est toujours plus sympa comme ça. J'ai moi-même fait cela, et notre confiance absolue l'un dans l'autre nous permet des actions que des personnes seules ne pourraient pas faire. Un mariage de facto, qui nous offre de nombreuses possibilités, que je vous laisse imaginer...



2. De l’investissement des jeunes à la lassitude des vieux


Concernant la problématique de l’investisement économique des jeunes et des vieux cons, le CDVCD vise à encadrer les jeunes en leur donnant un maximum d’outils et un encadrement. C’est notamment dans ce but qu’il faut redynamiser l’école au niveau économique (HEC) et mettre en oeuvre le eMedef que j’ai contribué à créer le mois dernier. Au niveau des vieux cons précédemment cités, je vais prendre l’exemple d’erey pour vous montrer à quel point la France sortirait grandie d’un plan visant à relancer ce capital dormant. Regardez l’organisation principale d’erey et vous y verrez 7 compagnies très intéressantes, notamment une Q5 house et une Q5 rifles, dormantes. Quel dommage n’est-ce pas ?

L’Etat est actuellement très riche, et l’économie repart plutôt bien. Cependant, nous avons voté il y a plusieurs mois de ça un plan de mise en place de bons du Trésor tombé aux oubliettes et je propose que l’Etat reprenne ce plan afin de permettre aux vieux de prêter leurs entreprises à l’Etat en souscrivant à de tels bons. Ainsi, prenons un exemple concret, erey prête sa boite house Q5 et touche x% de sa valeur par mois, tandis que l’Etat peut soit prêter cette entreprise à un jeune prometteur au niveau économique, soit la gérer lui même, dans une organisation spécialement créée pour, avec la nomination d’un gestionnaire des bons du Trésor chargé de faire fructifier ces biens. La valeur de l’entreprise ne changera pas vu qu’elle est dormante, le seul risque reste le vol, et l’Etat peut seul fournir des garanties là-dessus. Cette action permettrait de relancer les vieilles entreprises à haute valeur ajoutée, de redynamiser la concurrence et de pourquoi pas permettre à des jeunes loups de se faire les dents.




3. De la séparation des pouvoirs en économie


Cette séparation des pouvoirs au niveau économique est symbolisée par la capacité allouée au Congrès de gérer le budget de l'eFrance, en émettant des FRF, en donnant les sous à des orgas et en fixant les taxes au niveau des recettes, et niveau dépenses, en signant les mpp, en votant les hôpitaux et en déclarant les guerres. Or, le Congrès a peu à peu abandonné ce rôle de gestionnaire au profit du pouvoir exécutif en la personne du président et du MinEco. Clairement, on observe qu'au congrès, le gouvernement donne ses directives économiques et les congressistes suivent. Je ne mets pourtant pas en doute les capacités économiques des différents présidents et MinEco qui se sont succédés ces derniers mois, en particulier au regard du trésor de l'État, mais je pense qu'il est temps de revenir à un système plus démocratique, et de retrouver l'essence d'un Congès fort.

Cela passe par la réforme complète du système politique formé autour de l'économie, et un rôle plus important donné au Congrès. Ce Congrès retrouverait alors tout son intérêt et on arrêterait d'observer la gabegie qui y règne, il faut des congressistes plus compétents, et cela ne vaut pas seulement en économie. Le congrès ne doit pas être perçu comme une finalité, bonne à gagner de l'xp et une médaille, mais comme l'accès à un véritable pouvoir qui peut faire bouger les choses. Par exemple, on peut créer des commissions chargées d'apporter des regards neufs sur les grands pans de notre pays : économie, mais aussi diplomatie, armée et solidarité, entre autres. Tout le monde n'est pas spécialiste en questions militaires, ou en économie. Il faut donc que ces commissions réunissent des les experts afin d'aboutir à des propositions constructives.

Surtout, le Congrès doit revoir son rôle économique dans la gestion du budget, qui est actuellement exclusivement décidée par le gouvernement. Après le donate, quel poids a le Congrès ? Strictement aucun. C'est pourquoi je pense qu'il faut que le Congrès reprenne en charge l'orga qui gère les fonds de roulement de l'État. Je ne parle pas ici de l'orga de réserve, beaucoup trop risqué, mais d'une orga à laquelle les membres de la commission finance auront accès, et à laquelle le praiz devra demander un donate, sauf si la direction du donate est l'eFrance auquel cas aybabtu est utile. Il faudra donc :

-> fixer un budget du Congrès, c'est à dire le nombre de G qu'il disposera pendant son mandat, avec l’ensemble des congressistes nouvellement élus. Ce budget prévisionnel sera fait en fonction des initiatives chiffrées des congressistes, qui proposeront des projets argumentés qu’ils débattront tous ensemble dans une grande messe d’après élection. Les congressistes seront alors non plus élus sur des programmes bidons mais avec de vraies propositions économiques notamment, mais qui influeront aussi les domaines militaires et diplomatiques. Cela contribuera à la relance de l’intérêt porté au Congrès par nos concitoyens.

-> que le gouvernement demande à la commission des finances des donates dirigés vers le minsol, mineco, mindef et autre organisation étatique, en expliquant bien le besoin et l’intérêt d’une telle manœuvre, ce sur quoi la commission formée d’un membre de chaque parti élu au congrès débattra rapidement. Les accès de l’organisation étatique seront limités aux seuls membres de la commission, ou à son président, pour des raisons de sécurité des fonds.

Les donates d'eFrance iront cependant eux toujours à aybabtu, seul un don du montant du budget alloué au Congrès sera fait via aybabtu après que le budget ait été voté. Je souhaite ici donner un sujet de débat fécond pour les penseurs du pays afin d’arriver à rééquilibrer les poids du Congrès et du gouvernement en matière économique, et je reste parfaitement conscient des problèmes notamment en terme de sécurité qui restent à surmonter.



Je reviendrai dans un prochain article sur un dernier point, sur les outils traditionnels de l’économie que sont MM, taxes et autre Job Market.

Nous vous attendons nombreux pour débattre de cette propostion de réforme sur le chan #Journees-Degustations, venez nous donner votre avis, nous nous ferons un plaisir de répondre à vos interrogations et de discuter avec vous!



C'était l'équipe journalistique de Cave Canem


IN VINO VERITAS !