[Interview] Dieu rencontre le Taulier

Day 1,886, 09:18 • Published in France France • by LeTaulier

BO : http://www.youtube.com/watch?v=fD8JMFqrg9E

Ce matin, à ma plus grande surprise, j'ai eu l'honneur de croiser Dieu qui rentrait de Thaïlande. Entretien exclusif avec le père des pères, le sage des sages, mais avant tout, un grand homme !




10h65: Alors que je me remettais péniblement des durs rounds en Picardie. J'allais au Lycée le long d'une belle crête pentue, enneigée et sinueuse. Soudain, je le vis apparaître !

Quand je m'amusais à penser à ma première rencontre avec lui, j'aurais toujours voulu lui claquer une bonne bise. Mais malheureusement j'ai eu la même chose que tous les autres : je ne pu qu'évidemment voir sa main transpercer ces cumulonimbus naissant.





DIEU : Moins long le check, je n'ai pas tout mon temps donc on va faire vite. J'ai vu que tu t'occupais de plus en plus de tes précieux successeurs et surtout en bien. Mais les eBabies resteront-ils plus longtemps et en nombre si on a un territoire pour les DO, le bonus et un congrès pour mieux agir ?

BIBI : Non, la Pologne et la Serbie nous chient à la face dans nos propres cabinets, en plus ils veulent qu'on nettoie et qu'on donne une piécette à la vieille morue de l'entrée qui est censée le faire. Les MU feront la bataille pour les miettes d'eBabies qui resteront et on continuera à avancer dans le brouillard.

D : Déjà deux jurons. Et tu crois que je fais quoi moi toute la journée ?

"Il est preferable de perdre 83-0 que 83-50..."

D : Que t'inspires cette phrase de Rems2rage qui m'a fait siffler les oreilles à l'heure de la messe personnelle de mes nones personnelles ?

B : C'est en combattant les occupants qu'on forge nos soldats, notre puissance, notre coordination et notre cohésion. C'est sur que si l'on attend toutes les quinzaines du mois avant d'engager un combat un tant soit peu intéressant, nos gens vont se lasser, ne pas s'entraîner ou quitter le jeu.

D : Ne serais-tu pas en train de développer un péché d'avarice en oubliant vos alliés ?

B : Aider nos alliés ? As-tu déjà oublié Judas ?

D : OSE-TU ?

B : Ok, ok on se calme l'ancien... L'omniscience, l'omnipotence et toi ça fait au moins quatre en fait.

D : Je n'ai ni Google, ni Wikipedia et ni Facebook.



D : To... toi aussi mon fils ?

B : Bon je croyais que vous n'aviez pas le temps... Comme développé avant et comme je pensais que tu devinerais, l'action de proximité permet une pression permanente sur nos terres, des TP grandissantes et les dégâts ne sont pas perdus car ils aident forcément un conflit qui concerne l'hégémonie de la Serpologne.

D : Justement, n'est-ce pas peine perdue contre ces deux colosses ?

B : David contre Goliath, ça te dit quelque chose ? Il était seul. Chaque eCitoyens, chaque eAllié potentiel est un David. Et l'action contre la famine ? Oh wait...

D : C'est petit. Que préconises-tu à part rager ?

B : J'ai forcément un manque d'expérience et de formation pour proposer des choses concrètes. Mais je sais avant tout que la communauté reste le plus important, qu'à travers de simples discours venant de grands hommes ou de groupes d'hommes sont nés des causes et surtout des révolutions fantastiques.

Nous sommes sur une dynamique de population retrouvée (Merci Gibus pour le nouvel eBabyboom). On a plus le mur partagé avec les dégâts de toutes les divisions mais on doit bouger et en profiter ! Il faut former, engraisser et armer les nouveaux. Le peuple ne doit pas réfléchir, il y a le gouvernement pour ça. Par contre il doit être consulté et agir en conséquence !

Ecrivez, commentez, votez, shoutez, encouragez, la bombance d'antan doit être retrouvée !

D : Et la foi dans tout ça ?

~ Pour des raisons d'atteintes à l'intégrité de nos deux personnes, le reste de l'interview ne sera pas retranscrit dans ce journal mais dans le hors-série de Février qui coûtera la modique somme de 10€50 ~



Après de vives échanges et un Dieu toujours plus remonté que jamais, je finis par lui en mettre une (Oui la brume s'étant levée et ayant un visage d'une surface de 15 hectares c'était facile). Il me tendit naturellement la main, je lui serra. La fin de l'entretien fut assuré par son actif et bien connu délégué, le Pape.

Le Pape : Peux-tu nous donner une petite citation que tu affectionnes ?

B : Oue bon ok je me casse j'en peux plus...

"L'église est proche, mais la route est verglacée. Le bar est loin, mais je marcherai avec prudence."