Raconte nous une Histoire

Day 1,916, 06:34 Published in France France by Rodrigo Borja

Alors que Rodrigo continuai ses pérégrinations dans le monde d’eRepublik. Il vit une maison où siégeai une assemblée. Il prit alors une place au fond et écouta attentivement. Apparemment un vielle homme du nom de Polybe avait pris l’habitude de réunir ses fidèles et de leurs apprendre la vie.

C’est alors que le plus jeune de l’assemblée s’esclaffa : « Père Polybe ; raconte nous une Histoire, met tes lunettes et lit nous tous »

« Je vais vous racontez l’histoire d’une civilisation : Il y a des milliers d’années, vivait un peuple grand et fort. Ce peuple était connu pour avoir vécu tous les régimes politiques qui soient.
Au commencement y vivait un Roi, il était bon, grand et fort : C’était la Monarchie. Mais son fils n’était que fainéant, cruel et injuste : il venait d’inventer la Tyrannie, forme perverti de la Monarchie

Ensuite les grands des royaumes prirent le pouvoir des mains de ce fou ; ils installèrent un régime d’hommes intelligents qui furent complémentaire : C’était l’Aristocratie. Mais très vite ces hommes se querellèrent, ils ne faisaient plus rien pour le peuple mais tout pour eux : ils venaient d’inventer l’Oligarchie, forme perverti de l’Aristocratie.

Face à cela le peuple prit le pouvoir, il se le partagea et donna à tous la possibilité de participer, on demanda à chaque fois l’avis du peuple, tout cela semblai idéal : C’était la démocratie. Mais peu de temps après, chacun fit comme son bon vouloir, la foule s’amusa à changer d’avis constamment et à ne plus respecter les règles : elle venait d’inventer l’Ochlocratie. »

« Mais père Polybe ; demanda le plus jeune, qu’y a-t-il après l’Ochlocratie ?
-Un retour à la Monarchie, un nouveau cycle qui commence
-Excusez-moi père Polybe ; dit Rodrigo, mais la situation actuelle de l’eRepublik, avec plein de référendum et le peuple qui change d’avis du jour au lendemain, n’est-ce pas une Ochlocratie ?
-A toi de te faire ton propre jugement mon jeune citoyen… Si tel est le cas, alors tu devras faire ton possible pour faire apparaitre une nouvelle forme de Monarchie. »
Sur ces mots, il sortit, prit son cheval, tomba et mourut.
Rodrigo vit alors la foule le désarticuler, le broyer et le mangé. Il pensa alors que dans certains cas on aurait pu dire : « le peuple est devenu fou »