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Une nouvelle étape de franchie pour la Nouvelle ULP, le premier épisode d'une histoire opposants Romains et Gaulois, et les Petites Annonces, un petit numéro tout estival, en attendant les élections législatives.



1. Il était une fois La Charte
2. Aigles et Boucliers. episode 1
3. Les Petites Annonces de l'Union







Sans s'éterniser sur le sujet, l'ULP a changé, seuls les râleurs professionnels pourraient le nier ou nous ressortir de vieilles rangaines, presque par nostalgie. Voilà plus de deux mois que l'Union avance sans "devoir faire appel à la Charte", cette dernière ayant pris de l'âge sur bien des points, et n'étant plus en accord avec notre communauté trouvera naturellement sa place dans nos Archives. Nous sommes et seront toujours les Libres Penseurs, et c'est par nos actes et projets que nous comptons exercer cette liberté.

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Nous sommes une communauté ouverte, amicale, zen et fun, qui s'efforce d'être pragmatique sur les questions qui l'imposent et sans prise de tête par ailleurs, aidant au mieux les jeunes à faire leurs armes sur le jeu, et les autres à atteindre leurs objectifs (pour peu que ce soit constructif), en espérant contribuer à aider l'eFrance par nos actions. Nos valeurs tournent autour du partage, l'altruisme, le plaisir de jouer, l'amitié et la liberté de proposer des idées et mener des projets dans la bonne humeur.

Résolument contre le massMP, nous préférons faire vivre notre communauté et nos projets (projets persos, pour le parti ou le pays), communiquer sur ce que l'on fait, et accueillir tous ceux qui se reconnaissent dans notre façon de voir les choses.

En plus d'accompagner le projet de jeu des membres, l'organisation et le fonctionnement interne permettent à tous les volontaires de participer à la vie et à la gestion du parti, et d'apprendre au contact des anciens et se former pour être prêts le moment venu, quels que soient le module ou la façon de jouer.

Cette étape franchie, nos différents cercles (Politique, Diplomatie, Militaire, Communication, etc.) vont s'atteler à chercher des idées concrètes et suffisamment réalistes, pour aider notre ePays (la communauté) à grandir et à s'organiser au mieux pour tous mais pas sans eux.

Un parti et le ePays ont ceci de commun qui fait que c'est ensemble que l'on s'en sort, ou divisés nous échouons, mais l'Union ne peut se décréter, elle n'est véritablement forte que si elle se fait d'elle-même, autour de vraies valeurs positives, du recul et de la bonne rigolade par moment. A l'heure actuelle notre eFrance n'est pas au mieux, mais rien n'est jamais perdu quand la volonté d'avancer est là, et traitez-nous de fous optimistes... mais on y croit vraiment.



« La Cruche Percée » était une auberge comme il y en avait tant d'autres à Rome. Une façade en brique rouge, des arcades et surtout une forte odeur de vin ! Bref, rien ne pouvait la distinguer des autres établissements qui pullulaient dans les rues bondées de ce quartier populaire si ce n'est une pancarte décrépie qui semblait s'être fait rouler dessus par les armées de Rome et de Carthage réunies (avec les éléphants). Du coup, si « La Cruche », comme l'appelaient les gens du cru, était pour ainsi dire transparente pour un Romain, elle l'était d'autant plus pour un voyageur égaré, ce qui était justement le cas de notre homme. Avec ses vêtements amples et bariolés tranchant avec les tuniques blanches des passants et le rouge des briques, il attirait tous les regards, des plus curieux aux plus mauvais. L'homme se décida finalement à entrer. L'intérieur tenait les promesses de la pancarte ; des légions de cafards colonisaient l'endroit et la clientèle aurait pu participer au concours mondial de la mine la plus patibulaire.

Le voyageur s'assit dans un coin pas trop sal et commanda un lait de chèvre. Voyant que son voisin semblait moins dangereux que la moyenne des autres clients, il entama la conversation d'un ton hésitant.
« Excusez-moi Monsieur, le cortège passe bien par cette rue n'est-ce pas ? »
L 'autre finit sont verre de bière, se racla la gorge puis daigna enfin se tourner pour beugler sèchement :
« Hé le métèque, à Rome on n'aime pas bien les types qui posent des questions sans même donner leur nom, capiche ?! »
La moitié de la salle le regardait maintenant d'un air mauvais, et notre homme commençait à regretter ses paroles.
« Heu... je me nomme Plutarch, Philosophe de profession et...
« AH ah ah regardez moi ça les gars, un « Philosophe », rien que ça ! »
Rires gras dans la salle.
« S'il vous plait, je ne veux pas d'ennuis, je veux juste…

Ouais, tu veux savoir quand va passer Flaminius ! Et qu'est-ce que tu lui veux, hein ? T'es un vendu ? Tu sers Philipus ?!
A ce nom, la salle frémit et les regards haineux se multiplièrent.
Il faut dire que Marcus Philipus, président du Sénat de son état, n'était pas très apprécié dans les quartiers populaires. Il incarnait tout ce que détestaient ceux qui n'avaient pas la chance de faire partie des classes supérieures à Rome ; richesse extravagante et ego surdimensionné... Ah, et aussi le fait qu'il détenait l'essentiel du pouvoir politique.
Du coup, la seule mention de ce nom dans un quartier populaire pouvait déclencher une bonne bagarre.
Plutarch, se souvenant qu'il n'y avait pas de police à Rome, cherchait en douce une issue mais la seule porte était cernée.
« Mais... Mais non ! Je suis un ami de Flaminius !
Ben voyons.
Mais si ! Regardez. » Il chercha dans sa sacoche de cuir et en sortit un petit parchemin « Tenez, regardez. Mais regardez ! »
A voir sa tête, il ne fallait pas être devin pour comprendre que l'autre ne savait pas lire. La situation aurait pu s'envenimer si le tavernier ne s'était pas interposé ;
« Ne vous en faites pas les gars, je vais vous le lire votre parchemin ! »

Visiblement, l'aubergiste était respecté de ses clients car à ces seuls mots le silence se fit dans la salle et les regards se firent moins agressifs. Il parcourut rapidement le parchemin des yeux et un sourire se dessina sur son visage :
« Messieurs, non seulement cet homme n'est pas un agent de Philipus mais vous avez devant vous le conseiller de campagne officiel de Caius Flaminius Nepos ! »

A ces mots un silence pesant se fit, un silence d'admiration mêlée d'étonnement, un silence qui fut rompu par le tavernier en prononçant ces sages paroles :
« TOURNEE GENERALE » qui fut suivi d'un grand brouhaha
Plutarch put goûter la « bière maison » ainsi que la satisfaction de ne pas avoir été lynché en se disant que la politique à Rome n'était pas de tout repos. Il ignorait à quel point il avait raison...



Adepte du Module Eco, ou voulant apprendre.
Je suis Hans_95, SG de l'Union et MinEco du Gouv'ULP.
Je rappelle à tous nos jeunes et moins jeunes que depuis la reprise en main par mes soins de l'Orga, l'ULP bénéficie d'un programme d'aide merveilleux.
Nous avons des prêts à taux 0 de Golds et de FRF, et nous pouvons même faire des distributions de Food et de Weap sur demande. Un besoin d'argent, une envie de taper pour une bataille importante ? N'hésitez plus, l'ULP est là pour vous.
(Dans la limite des stocks disponibles).

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PP. Elections à la présidence de l'Union : 15Sept
Congrès. Elections Législatives d'eFrance : 25Aout
CP. Elections Présidentielles eFrançaises : 5Sept
Candidats déclarés pour cette échéance


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