L’histoire économique de la crémière

Day 841, 10:49 Published in France Japan by Master Tigers

Nouvelle article du mois 🙂



Récemment une de mes gentilles vaches à lait m’a demandé pourquoi je lui donnais de moins en moins de blé et je lui ai raconté l’histoire de la crémière.



Un jour une crémière a décidé de produire de la crème de luxe pour la vendre à des personnes qui en avaient besoin pour un meilleur entrainement. Elle créa pour cela une société au nom de -->A.N.A.L<-- (l’Agence de Nana à Automatique de Liquide) qui à pour but de vendre de la crème et d’enrichir beaucoup plus la crémière.
La crémière a pompé beaucoup trop les vaches à lait ce qui fait qu’elles sont à sec maintenant mais certaine vaches ne connaissent pas la crise et fournissent toujours du liquide.



Le problème est que la crémière détruit à petit feu ses concurrents car une grande partie des personnes veulent sa crème de luxe pour se lubrifier et avoir un entrainement meilleur.



La crémière a le monopole et ces concurrents sont en en pleine déflation. Les prix de ceux que les concurrents vendaient à chuter énormément car la grande partie des gens n’avaient plus de blé de coté pour faire des échanges avec d’autres produits, il y avait plus d’offres que de demandes.
Le prix de ce que je vendais à chuter tous les jours et j’ai de même diminué le blé distribué à mes vaches à lait.
Par la suite, les gens gagnaient de moins en moins donc ils dépensaient encore moins. Ce qui fait que les prix continuent de chuter.
Ce problème c’est répercuté sur le prix du blé à la bourse. En effet la crémière veut être payé avec de l’or donc tout le monde vend son blé contre de l’or donc le prix du blé chute aussi rapidement.
Il est très dangereux de parler de ça à cause des répercussions de la crémière qui ferait appelle à des personnes peu recommandables pour nous faire taire. Certaines personnes en sont mortes et d’autres ont eu une menace de mort et oui le sujet fâche beaucoup la crémière…



Pour ma part, je ne suis pas un consommateur de la crème de la crémière. Sa crème, elle se la garde, moi je la prends à sec et je lui envoye mon lait en pleine figure car c’est une grosse sal… qui pense plus au liquide qu’à ses vaches.