Fiel et doux nectar : avons-nous eu recours à des multis ? (non)

Day 4,237, 00:21 Published in France Indonesia by Droopy Land



Chers amis,

Le CDVCD fait son retour au Congrès sous son propre étendard, en faisant élire deux congressistes. Pour beaucoup, il s’agit d’une surprise. Il faut dire que nous n’étions pas certains de pouvoir présenter des candidats, puisque numériquement inférieurs au parti qui occupait la 5e place du classement ; la position minimale requise pour participer aux élections.

Depuis mon retour et le début de ma mandature, je n’ai eu de cesse de renouer contact avec de vieilles connaissances, d’expliciter l’histoire et les valeurs du CDVCD à des joueurs arrivés après notre âge d’or, pour qui notre parti n’évoquait qu’un passé poussiéreux. Beaucoup ont répondu présent et le parti s’est remis en éveil. Toutes proportions gardées, compte tenu du faible nombre de nos citoyens et du Congrès restreint dont notre pays disposera ce mois-ci, il s’agit d’une petite secousse, qui a malheureusement fait deux victimes.

La première est le Parti Noeliste, que nous avons dépassé sur le fil, privant de Congrès quelques citoyens assidus et méritants. Bien qu’il s’agisse du jeu politique, nous comprenons leur déception. Gageons qu’ils sauront repartir du bon pied le mois prochain, comme nous l’avons fait ces dernières semaines. Le Top 5 n’est pas voué à rester figé : plus il est mouvant et plus notre démocratie sera saine.

La seconde victime est le beau jeu. Face à la surprise, certains ont préféré exprimer du ressenti, se livrant à une navrante campagne de diffamation. Curieusement, il ne s’agit pas des principaux concernés comme nous pouvions l’attendre, mais de certains membres du gouvernement profitant de leur position pour émettre leur amertume sur les feeds officiels du pays. Nous ne commenterons pas l’usage de ces méthodes, nous laisserons nos citoyens tirer leurs propres conclusions.


Y a-t-il un mystère derrière les quelques (quatre) nouveaux membres qui nous ont rejoint dix jours avant cette élection ? Cela a peut-être échappé à ceux qui entendent privatiser l’eFrance, mais il est toujours possible d’inviter des amis dans cette communauté. C’est ce que j’ai fait, en invitant trois proches amis et ma compagne. Elle seule a survécu à la salve de bans qui s’est abattue sur eux suite à ce qui s’apparente à une campagne de reports savamment orchestrée. Bien joué, notre sécurité intérieure se porte bien.

Je ne suis pas convaincu qu’ils reviendront tenter l’aventure eRepublik au vu de l’accueil qui leur a été fait, mais je continuerai d’inviter le plus grand nombre de mes connaissances, proches et amis à rejoindre l’aventure eRepublik, et je vous invite chaleureusement à en faire de même.


Tout à fait. La cabale de reports organisés a simplement accéléré un processus que je souhaitais naturel : le retour d’anciens joueurs ayant marqué mon aventure par le passé, avec lesquels j’avais pris plaisir à inventer, imaginer et construire. Ce lien, si particulier, construit autour d’une aventure virtuelle longue de plusieurs années, s’est étendu IRL où nous avons gardé contact. Parfois assidûment, parfois sporadiquement. Étrangement, je ne pense pas que je serais parvenu à les convaincre de revenir si vite sans l’aide de nos vigoureux détracteurs. Certains ont un don indiscutable pour faire fuir les membres de cette communauté ; tout compte fait, il s’avère que ce don parvienne à raviver la flamme du jeu chez d’autres, par-delà la mort. En soi, leur retour dans l’adversité révèle ce qu’est finalement l’essence de l’aventure eRepublik : le collectif.

Le temps est peut-être venu de décider ce que nous souhaitons faire de cette communauté, dont il ne reste plus que des miettes : un terrain de jeu privé aux mains de quelques-uns ? Ou bien une communauté soudée s’évertuant à croître et attirer de nouveaux membres avec bienveillance ?

Ce sont ces valeurs-là que nos congressistes, Moulin Jean et moi-même, représenterons au Congrès ce mois-ci. Si vous partagez ces valeurs, nos portes vous sont évidemment ouvertes. Si vous souhaitez les faire vivre ailleurs qu’au sein du CDVCD, nous vous y encourageons tout autant.

Vivre ivre, ou pas !