La Guerre Franco-Hongroise vue par un soldat

Day 1,639, 05:22 Published in France France by Epnoz
Je suis jeune militaire, recruté depuis quelques temps dans une unité militaire française. Je suis dans un régiment avec plusieurs camarades de guerre, et nous devions se montrer sur quasiment tous les fronts, à cause de la guerre et donc des nombreuses batailles qui faisaient rage entre notre pays et la Hongrie ces derniers temps. L'ordre pour toutes les divisions militaires était simple : nous devions récupérer à tout prix les territoires conquis par l'Hongrie en France. Il fallait sauver notre pays, le libérer de ses ennemis.

Ces derniers jours, on était très fatigué, d'autant plus qu'il y avait de moins en moins de rations alimentaires pour les soldats. La faim commençait à nous envahir. C'était dur, mais il fallait résister à tout. On avait été envoyé en Bourgogne, où les Hongrois ne cessent leurs attaques. On devait tout simplement défendre cette région contre l'ennemi.
D'autres troupes militaires venues de l'étranger avaient été envoyées pour la bataille. Je voyais ainsi des américains, des croates, des turques, des roumains mais aussi des soldats venus du Brésil, ou encore d'Australie. Ils étaient là pour la France, pour sa défense. On nous avait envoyé de nouvelles armes, plus performantes que les anciennes, on était ravi.

On pouvait enfin se plonger dans la bataille. Les Hongrois avaient tapé les premiers, ils ont lancé l'offensive tôt le matin. Ils envoyaient des chars et des blindés en première ligne, faisant face à nos propres chars, qui étaient moins efficace, mais plus nombreux. Malheureusement, les Hongrois avaient préparé les bombardiers, et écrasaient nos chars facilement. Notre première ligne avait été rompue, mais on avait réussi à affaiblir une bonne partie de leurs chars et blindés. Les bombardiers américains entraient dans la danse, et bombardaient tout le reste de blindés.
Après ça, les commandants ennemis avaient lancé l'assaut, avec leur grande infanterie. Les militaires hongrois tiraient vers nous. On avait placé deux ou trois petites bases où on avait mis les mitraillettes. Je voyais mes camarades tiraient de tous les coups possibles, et je voyais tous nos ennemis hongrois tomber.

Mais la bataille n'était pas finie, on n'avait pas encore gagné. Les Hongrois continuaient encore le lancement des bombes sur les soldats, ça nous a été très fatal. J'étais déstabilisé, je ne savais plus vers où courir, j'entendais beaucoup trop de coups de feux venant du camp adverse. Je vis un petit groupe de soldats hongrois, qui m'ont aussi repéré. J'avais mon régiment derrière moi, et je donnai l'ordre de tirer sur eux. Nous avons perdu deux gars du régiment, mais on avait réussi à tuer tout le groupe d'hongrois qui nous avaient barré la route. Les turques et tous nos autres alliés avançaient, c'était bon signe, et les adversaires reculaient.
Nos mitraillettes commencèrent à terminer notre tâche dans le sauvetage de la Bourgogne, et nos militaires accompagnés de nos alliés, l'avaient fini. La Bourgogne restait française.

Nous avons gagné la bataille, mais pas encore la guerre.