Francia desesperada, aliados criticados

Day 779, 03:12 Published in Spain Spain by abreux

Comme vous l'aurez remarqué, l'état-major français a ce soir décidé de tenter une fois de plus la stratégie de retraite pour reprendre l'initiative. Évidemment, cela ne parle pas forcément à tout le monde, parce que tout le monde ne sait pas ce qu'est l'initiative.

L'initiative est en réalité assez simple : c'est la possibilité pour un pays de lancer une attaque, et tant qu'il parvient à la conserver, il peut attaquer indéfiniment, même en ne faisant aucune conquête : il lui suffit d'être toujours en train d'attaquer une région, et c'est ce à quoi l'espagne tente de jouer depuis plusieurs jours. En clair, tant qu'un pays est en train d'attaquer il peut perpétuellement attaquer même s'il perd, ce qui est stupide, mais c'est le jeu.

Le seul moyen de gagner l'initiative de l'attaque c'est de sécuriser une région sans qu'il n'y ait d'autres batailles ouvertes. C'est en ce sens que des retraites ont été opérées avant la fin de la bataille de Picardie. Pour reprendre le dessus. Seulement, ça ne fonctionne pas, parce que les serveurs ont du lag, parce que les ordres présidentiels mènent au poulet sans tête, parce que le président espagnol est un nolife connecté à toute heure du jour pour lancer une attaque.

Aussi, il nous reste deux possibilités pour reprendre nos régions, par la reprise de l'initiative : qu'un autre pays attaque l'Espagne, ou n'avoir qu'une seule région attaquable. Bien entendu, personne ne veut se mouiller pour nous, le Brésil nous ignore depuis des semaines, alors qu'il a largement la capacité de le faire, aussi il nous reste la stratégie dite de la dernière région.

Elle est simple, mais radicale. Avec une seule région attaquable, il est impossible pour l'adversaire de conserver la fameuse initiative, puisqu'il ne peut pas lancer de nouvelle offensive avant la fin du compte à rebours, et si cette dernière région est sécurisée, alors le pauvre pays opprimé peut se lancer dans la reconquête de ses régions.

Bien entendu, cette stratégie, nos amis de phoenix, et en particulier l'Angleterre, n'en veulent pas, parce que notre retraite ouvrirait la route à l'Espagne, seulement, nous sommes depuis des semaines seuls, aussi il est temps de mettre à profit notre dernier avantage ; la France est le passage entre toutes les régions stratégiques d'Europe de l'ouest, et si nous ne faisons rien, celle-ci tombera.

Pour ma part, je suis totalement favorable au fait de mettre la pression à nos anciens alliés, maintenant que nous en sommes rendus à envisager de telles extrémités : s'ils ne nous aident pas, c'est la Croatie qui se partagera notre bois avec l'Espagne, et la Pologne qui passera à travers nous pour aller chercher du fer au Pérou par l'Espagne puis le Venezuela. Si nous ne faisons rien, si nous ne battons pas à mort pour des gens qui ne daignent même pas donner une seule consigne d'aide pour nous, et nous laisse crever à petit feu, c'est Phoenix lui-même qui se retrouve en danger. Si nous ne pensons qu'à nous comme d'autres ne pensent qu'à leurs conquêtes en Asie, dans six mois l'europe parlera Polonais, espagnol et croate, de l'écosse à l'oural.

TRADUCCÓN:

Así como usted lo habrá observado, el estado mayor francés esta por la tarde ha decidido intentar(tentar) una vez más la estrategia de jubilación para repetir la iniciativa. Evidentemente, esto no habla forzosamente a todo el mundo, porque todo el mundo no sabe lo que es la iniciativa.

La iniciativa es bastante simple en realida😛 es la posibilidad para un país de lanzar un ataque, y mientras llega a conservarla, puede atacar indefinidamente, hasta no haciendo ninguna conquista: le basta con estar siempre atacando una región, y es aquel a que(lo que) españa intenta jugar desde hace varios días. Con claridad, mientras un país está atacando puede perpetuamente atacar hasta si pierde, lo que es estúpido, pero es el juego.

El solo medio de ganar la iniciativa del ataque es tranquilizar una región sin que hubiera otras batallas abiertas. Es en el sentido que jubilaciones han sido operadas antes del fin de la batalla de Picardía. Para rehacerse. Solamente, esto no funciona, porque los camareros(servidores) tienen del lag, porque las órdenes presidenciales llevan al pollo sin cabeza, porque el presidente español es un nolife conectado a todas horas del día para lanzar un ataque.

También, nos quedan dos posibilidades para repetir nuestras regiones, por la recuperación de la iniciativa: qué otro país ataque España, o tener sólo una sola región atacable. Desde luego, nadie quiere mojarse para nosotros, Brasil nos ignora desde hace semanas, mientras que ampliamente tiene la capacidad de hacerlo, también nos queda una estrategia dicha sobre la última región.

Es simple, pero radical. Con una sola región atacable, es imposible para el adversario de conservar la iniciativa famosa, ya que no puede lanzar de nueva ofensiva antes del fin de la cuenta atrás, y si esta última región es tranquilizada, entonces el pobre país oprimido puede lanzarse a la reconquista de sus regiones.

Desde luego, esta estrategia, nuestros amigos de phoenix, y en particular Inglaterra, no lo quieren, porque nuestra jubilación abriría el camino en España, solamente, somos desde hace semanas sólo, también ya es hora de aprovechar nuestra última ventaja; Francia es el paso(pasaje) entre todas las regiones estratégicas de Europa del oeste, y si no hacemos nada, ésta caerá.

Para mi parte, estoy totalmente favorable para el hecho de ponerles la presión a nuestros antiguos aliados, ahora que somos devueltos de allí a contemplar tales extremidades: si no nos ayudan, es Croacia que se repartirá nuestro bosque(madera) con España, y Polonia que nos pasará través de nos para ir a por hierro a Perú por España luego Venezuela. Si no hacemos nada, si no latimos a muerto para gente que hasta no se digna dar una sola consigna(depósito) de ayuda(ayudante) para nosotros, y nos deja reventar para pequeño fuego(luz), es Phoenix mismo quien se encuentra en peligro. Si pensamos sólo a nosotros como otros piensan que a sus conquistas en Asia, dentro de seis meses Europa hablará Polaco, español y croata, de la escocia a ural.