Garçon... Une Despe !
Falcon12
Si il y a bien une chose qui distingue la dernière élection présidentielle de celle qui l'a précédée, c'est sa platitude. Nous avons eut le droit à une campagne éclaire, sans débats et sans réel challenge pour Desperados, malgré la tentative de coalition de L'UI. Desperados a donc été reconduit presque naturellement dans ses fonctions. Mais était-ce gagné d'avance ?
Car le moins qu'on puisse dire du mandat de ce Kanard, c'est qu'il aurait pu faire des mécontents.
Tout d'abord le nouveau gouvernement était parti avec le handicap d'une opposition construite avec 227 votes de l'UI et du PNF autour de Stephanof et 176 votes en faveur Nicolas Bonaparte. Pour rappel l'alliance PK et CA de Desperados avait rassemblé 332 voix.
Cette opposition aurait pu se révéler très dangereuse si elle avait profité des multiples mécontents des décisions du gouvernement.
La suppression du Concon et de la Constitution a connue d'ardents opposants lors des débats. Diviser les MPP et donc les possibilités de se battre aura là encore du en énerver quelques un. L’entrée dans Eden n'était pas acquise diplomatiquement, mais aussi dans la tête de nombreux efrançais dont beaucoup voulait se tourner vers COT. Même les pro-Eden, la base de son électorat, Despe aurait pu se la mettre à dos par son soutien inconditionnel au traité.
Pourtant aujourd'hui il est largement réélu et sans opposition forte, comme le laissait deviner la belle réussite électorale du PK au Congrès. Alors qu'est-ce qui lui a permis de rester populaire ?
Tout d'abord Despe avait su mettre des atouts dans sa manche. Tant en se constituant progressivement ces derniers mois une image de président que par les personnes qu'il appela à son gouvernement. Adjoignant leurs statures à sa politique.
Ensuite l'absence d'opposition construite dans le but de nuire à l'image du gouvernement, malgré les sujets de plaintes dont elle aurait pu s'emparer est pour beaucoup dans sa réélection.
On peut aussi citer l'habileté de Desparos qui su choisir avec tact quelles mesures ratifier avant ou après l'élection du congrès et qui su aussi diviser son opposition dans les débats.
Enfin les événements ( guerre Pologne-Russie, reprise de deux régions... ) qui eurent lieu durant son mandat ne sont pas étranger à sa popularité actuelle.
Ce qui est désormais certain, c'est qu'avec ce deuxième mandat, les efrançais semblent s'engager pour de bon sur la voix tracée par Desperados.
En restant ouvert au débat et à toute critique constructive.
Falcon12
Comments
Bonne analyse, votado o/
Je suis trop machiavélique 😉
La reprise de 2 régions n'a rien à voir avec le gouvernement, pourquoi leur en attribué le mérite ?
Ce n'est clairement pas sur cela qu'on distingue un bon ou un mauvais mandat. Mais ce genre de petits éléments contingents ajoute ou enlève toujours des points de popularités selon l'opinion générale.
La reprise est due au fait que les Polonais n'ont pas tapé dans la bataille. Le fait que nous les ayons encore aujourd'hui est à mettre à notre compte 😉
Ou que les Polaks en aient rien a battre
V
Merci
Merci de vos lectures !
Les dernières élections ont surtout de la léthargie présente dans la politique eFrançaise je pense.
Par contre je ne suis pas spécialement d'accord avec cette phrase : "Ce qui est désormais certain, c'est qu'avec ce deuxième mandat, les efrançais semblent s'engager pour de bon sur la voix tracée par Desperados."
Pour l'instant rien de ce qui a été fait ne saurait être défait si un prochain cp souhaite prendre une nouvelle direction, l'influence (qu'elle soit positive ou surtout néfaste) ne risque donc pas de perdurer si tel est le souhait des prochains cp.
Et donc un retour en arrière ?
C'est la pire chose qu'il peut nous arriver. Allons un peu de l'avant au lieu d'entrer dans les querelles partisanes et d'écarteler les papillons en déconstruisant toujours ce qui a pu étre fait.
Tout est relatif. Techniquement l'élection de Despe était en soi un retour en arrière. La suppression de la constitution peut être considérée comme un retour en arrière tout comme la probable entrée dans une alliance qui s'écroule. La vie est ainsi faite parfois.
Mouai enfin, 42 % , comme la derniere fois, avec moins de votant que la derniere fois, l'a po gagné de part de marché non plus.
Avec une opposition bien plus divisée, et de loin au vue des chiffres. Alors que ce mandat fournissait tout les éléments nécessaires pour construire.
Qui est ce Desparos ?
Le double machiavélique de Desperados surement