Les racines de l’Union Nationale.

Day 867, 17:36 Published in Canada Canada by Samuel de Champlain


L’Union Nationale fit officiellement son entrée au Congrès du eCanada en février 2010 en tant que parti du top 5.

Toutefois, le légendaire Ozzel O'Dunn fût celui qui remporta l'élection du congrès du 25 décembre 2009, en temps que premier membre de l'Union Nationale à siéger au Congrès du eCanada.

Par contre, les racines de notre parti remontent à bien avant la création de l’Union Nationale par pandobox, financé en partie, par la Banque Centrale du Québec, suite à la WW3, il y a 4 mois.

En effet, le désire de l’existence d’un parti politique permettant l’épanouissement des joueurs francophones dans eRepublik nous ramène à un grand penseur et leader de notre histoire, le très honorable Miloslav, qui fût 6 fois Congressman au eQuébec.

La naissance de Miloslav eût lieu au jour 282 du Nouveau Monde (28-8-200😎.

À cette époque très jeune du Nouveau Monde de eRepublik, tout était encore en création.

Il n’y avait pas une large proportion de Canadiens d’expression francophone, et le jeu, ainsi que les débats avaient tous lieu dans la langue de Shakespeare.

La cause linguistique est un thème fondateur, puisqu’il en était déjà question, lors de la signature de la Constitution du eCanada en août 2008.

Vers l’automne 2008, dans la mouvance de l’avènement de la V1 officielle, différents acteurs du eQuébec, mené par Miloslav, sous une impulsion nationaliste, procédèrent à la création du Bloc Populaire du Québec. Ce parti avait comme premier objectif de contribuer au développement d’un eQuébec plus fort. Un de ses principes fondateurs était la préservation de la liberté d’expression pour les francophones au eCanada. Plusieurs joueurs unilingues francophones, n’avaient d’autre choix que de s’exiler en eFrance pour jouer dans la langue de Molière.

Le BPQ, fondé en 2008, visait le développement d’une autonomie pacifique du eQuébec.

Il fût réformé en février 2009, afin de s’ajuster aux nouvelles réalités de l’époque.

Après une tentative de PTO hostile par la eHongrie sur le BCQ en mars/avril 2009, un nouveau départ fût prit en mai 2009, sous le nom du Parti National du eQuébec.

J’ai eu le privilège de remporter la course au Congrès en mai 2009, pour le compte du PNQ.

En juin 2009, suite au glissement du PNQ en dehors du top 5, plusieurs membres fondateurs, déçus par ce que le eCanada leurs offraient à l'époque, choisirent l’exile, dans l’espoir d’un avenir meilleur.

Plusieurs eQuébécois, partir pour vivre l’aventure dans un nouveau pays, la eAutriche.

Ils m’ont offert de les suivre, de partir avec eux, tenter l’expérience autrichienne.

Ce qui anima depuis toujours les motivations des dirigeants politiques du eQuébec de cette époque, fût le manque de reconnaissance politique au sein d’une union plutôt disfonctionnelle, et le désir de voir reconnaitre leur droit à la liberté d’expression dans leur langue.

J’ai eu certaines divergences d’opinion avec Miloslav à cette époque. Il se voulait, comme le Che, un leader intransigeant. Je lui mentionnai clairement mon désaccord avec son projet d’indépendance du eQuébec. Ce projet ne pouvait pas être réaliser dans les ‘game mechanics’ et de toute façon, je ne croiyait pas que le eQuébec devait s’isoler, mais bien participer au gouvernement, en étant bien intégré au sein du eCanada. Miloslav est finalement décédé en eCroatie, après avoir tenté sa chance à la course présidentielle en eAutriche. Paix à son âme.

Je choisi donc de demeurer au eQuébec, et pris la tête du PNQ suite à la guerre. Le PNQ était maintenant un parti de eFrance puisque le eCanada ayant été effacé de la carte, tout les partis politiques du eCanada d’alors, devinrent partis de eFrance.

Je repris donc la tête du PNQ, lors de la période trouble suivant la WW3, qui a vu l’extinction totale du pays qu’est le eCanada. Après la défaite de l’Ontario, toutes les provinces du Canada, étaient sous contrôle étranger. Je me mis donc à la tâche de la planification de la reconstruction du eQuébec, en militant pour l’établissement d’un hôpital Q5 dans la Belle Province.

Lorsque je fût président du PNQ, je mis sur pied la Banque Centrale du Québec, organisme financier ayant pour objectif la reconstruction du eQuébec après la guerre et son développement économique.

La Banque ne fût jamais au service de la eFrance, mais bien du eQuébec et les bénéficiaires en furent ses citoyens, dont les hypothèques permirent de nombreux achats immobiliers lors du babyboom. La eFrance n’a jamais fournie d’armes ou de capitaux à la Banque ou à quiconque au eQuébec pour aucunes attaques contre le eCanada.

Le PNQ en eFrance, ne permit pas la poursuite de sa raison d’être, qui était de promouvoir les revendications du eQuébec au sein de la eFrance. Le territoire était retourné au eCanada, et les français avait d’autres chats à fouetter, leurs frontières étant de plus en plus pressurisés par leurs ennemis de l’époque, l’eEspagne, entre autre.

En temps que dernier chef du PNQ in game, je procédai à la dissolution du PNQ, et annonça sa refonte en temps que parti Illuminati de eFrance, nom symbolique qui servi de transition vers un nouveau départ. En effet, je discutai alors avec pandobox, de la création d’un nouveau parti politique, qui se voulait être la continuation normale du défunt PNQ. Financé en partie par les capitaux de la Banque Centrale du Québec, le eQuébec retrouva sa voix, il y a 4 mois, avec le parti Illuminati du Canada.



Le souffle spirituel fût retourné au berceau, d’un parti Illuminati à l’autre, et préserva l’essence de sa mémoire et de ses ambitions de représentation de la population du eQuébec, dans eRepublik. Le lendemain de sa création symbolique, le parti changea de nom afin de mieux renaître de ses cendres et est aujourd’hui connu sous le nom de l’Union Nationale.



Cordialement,

Samuel de Champlain,
Congressman du eQuébec.
jour 867 du Nouveau Monde.

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