[Reaper News n°14] Orion et le référundum

Day 2,736, 12:33 • Published in France France • by Anoyan


Sommaire :

Le mot de la Faucheuse

L'analyse du jour



Le mot de la Faucheuse

Je tiens tout d’abord à remercier Alexandre Debord pour la nouvelle charte graphique du Reaper News, qui est vraiment superbe.

Et aujourd’hui, j’ai hésité entre continuer comme à mon habitude, quitte à faire un nouveau bide ou changer, afin d’éviter les articles qui se suivent et se ressemblent et qui, au bout d’un moment, finissent par lasser.Aussi, je change mon fusil d'épaule et m'efforcerai de traiter aussi bien des sujets sérieux que des articles what the fuck.

Et oui aujourd'hui, je suis sérieux, profitez en, ça n’arrivera pas souvent (ou alors ça arrivera de plus en plus régulièrement, allez savoir !)

Have fun !



L'analyse du jour

Déjà, qu’est ce qu’Orion?

Orion est une toute nouvelle alliance, fondé par les ePays suivants : la Suède, le Canada, l’Iran, le Pérou et la France, qui sont tous pour la plupart des alliés de longues date, décidé à passer de l’amitié entre pays à l’alliance pure et dure. Rajoutons à ces cinq pays fondateurs la Colombie qui est actuellement à l’essai et possiblement le Portugal qui devrait ou non nous rejoindre, selon ce qu’ils décident (l’indécision portugaise étant la raison pour laquelle la Colombie désire être à l’essai pour le moment).

En apparence, Orion a l’air d’un véritable bourbier, ce qui aurait pu expliquer l’indécision de la communauté française mais non, la principale raison des votes de contestation sont une volonté d’exprimer le mécontentement vis à vis de la politique gouvernementale du mois dernier. Belle mentalité de la part de l’opposition mais ça sera pour un autre article.

Donc revenons en à Orion, que certains considèrent comme un Leto 2. Petite piqûre de rappel, Leto était une alliance regroupant les pays qu’Asteria ne voulait pas prendre, comme la France et le Canada, qui ont tous deux quittés Leto et se retrouvent désormais avec un statut de fondateur. Orion, quand à elle est une alliance qui n’a pas vocation à être sous tel ou tel obédience, bien que les pays membres aient tous une politique pro-Asteria. Mais une politique pro-Asteria ne signifie pas qu’on doit leur servir de chair à canon, bien au contraire.

Concrètement, les arguments des anti Orion ne tiennent pas la route, on peut lire qu’on va entrer dans une alliance de seconde zone, que militairement, cela ne nous apportera rien, qu’on va droit dans le mur, que d’ici trois mois l’alliance aura implosé, comme Sirius il y a quelques mois de cela. A cela, on peut répondre que l’alliance est composé de pays qui se connaissent bien, qui ont des liens solides entre eux et qui peuvent peser sur la scène internationale en travaillant ensemble. Une preuve de plus que ce n’est qu’une opposition qui cherche à punir le gouvernement pour ses erreurs du mois passé en votant non et que ce n’est pas un non destiné à l’alliance.

A l’heure actuelle, les résultat du référundum parle d’eux même, hormis un vote négatif venant de la part du Congrès (et de quelques personnes ayant des raisons valables de voter non) une bonne partie des eFrançais (et quelques congressistes )semblent pour notre entrée dans Orion, bien que certains gardent encore espoir que le Portugal nous rejoigne rapidement.



Au prochain article, je parlerai certainement du débat qui fait rage au Congrès, comment le rendre utile ou l'art de la branlette intellectuelle.

Auteur et salarié de la Maison d'édition de Vine