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Non, ce nouvel article n'est pas une vaine tentative de concurrence face aux excellentes recettes de Moapremier.
Après avoir parler cul la dernière fois (et non il n'y eu pas tromperie sur la marchandise, la maison se refuse donc tout remboursement Ulysse) place au nerf de la guerre, le pognon.



En effet après avoir baissé l'income tax (en gros l'impôt que vous payez sur votre salaire quotidien, je le précise pour les noobs en économie comme moi) a 10% du grain voilà le congrès qui a nouveau retouche cette taxe et ce dans tous les domaines professionnels pour arriver a une harmonisation a 14%.

Le lancement des différends votes de loi permettant ce changement trouve son origine dans un débat lancé par Hubert Farnsworth puis relayé par un de nos Min Eco au congrès, Tototwalker.


Si a la base j'avoue être très partagé lorsque l'on souhaite augmenter cet impôt, force est de reconnaître que la situation économique de notre pays est des plus inquiétantes actuellement et qu'un arrivage d'argent frais semble nécessaire afin de renflouer les caisses.

Partagé car l'income tax reste un impôt, bien que nécessaire il est vrai, particulièrement injuste. En effet la majeur partie de nos dépenses c'est l'armé. Or il est évident au vu de notre organisation communautaire actuelle, Nya a ce titre a lancé un débat fort intéressant sur une façon d'aborder différement "l'organisation" de notre société mais ceci est un autre sujet, que nous avons besoin de soldats équipé en conséquence afin de préserver les intérêts de l'efrance. Seulement jusqu'à quel point doit on retirer de l'argent a un joueur afin d'en promouvoir un autre?

Passé de 10% à 14% a certes un impact limité sur chacun de nous (mais impact tout de même) et si cet effort de chaque citoyen s'avère actuellement nécessaire, il serait de bon ton que cela ne devienne pas non plus une habitude. L'argument serait un peu facile a répéter (après tout 14% a 18% est peu de chose également, puis 18% a 22%...) et il me paraît important de prendre pleinement conscience du sacrifice demandé et de ne pas le présenter tel une vulgaire banalité administrative, tel qu'il est fait actuellement.

L'état n'a pas non plus vocation a limiter économiquement de façon trop drastique chaque joueur afin d'assurer financièrement un fonctionnement quel qu'il soit. Il en va bien sur de l'intérêt du jeu pour tous.


Il serait donc a mon sens, ce serait tout de même la moindre des choses, qu'en parallèle le gouvernement sache faire preuve de la plus grande sagesse et retenu quand a ses dépenses a venir. Ces augmentations nous sont argumenté par celui ci comme nécessaire afin de pouvoir assurer la défense de notre territoire et renflouer les caisses. J'ose espérer qu'il saura tenir cet engagement.
L'efrance est une nation de dimension moyenne a l'échelle de l'emonde et ne peut clairement pas tourner en surrégime tous les mois. Il est essentiel de savoir profiter de période plus calme pour mieux préparer les campagnes de demain. Or l'Espagne ne semble guère enthousiaste actuellement pour de longues et couteuses batailles tout comme le Canada, dont l'échec du traité de paix est fort regrettable, ne sera pas a Paris demain. Quand a la Pologne elle ne frappe pas encore a la porte.

Si le mois dernier a été des plus grisants pour bon nombre d'entre nous le répéter a l'infini nous est chose impossible, a moins bien sur que de généreux donateurs souhaitent faire chauffer leurs cartes bleus et en faire don au trésor public.

Une communication un peu plus clair sur ce sujet de la part du gouvernement et surtout une osmose un peu plus sereine au sein de son ministère de l'économie (qui ne semble guère le cas actuellement mais sans incriminer qui que soit pour autant) serait la bienvenue.
Krichnouk me semblait vouloir aller dans ce sens mais ne semble guère entendu.


Afin de préparer au mieux notre avenir, et si la situation le permet bien sur comme actuellement, je pense que nous aurions bien besoin d'un maitre Folace . Si l'on veut gouter a nouveau aux joies de conquêtes sans presser plus que de raison le pauvre bougre qu'est le citoyen, il me semble que nous n'ayons guère le choix.