[JO] Une vision d'un monde merveilleux

Day 2,973, 09:59 • Published in France France • by Journal_Officiel






*** L’Empire glorieux ***


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“L’Empire est l'évolution ultime d’un grand pays !”

“Je vous devais de plus amples explications sur cette phrase, laissez-moi vous y conduire…”

Sur ce, l’Empereur commença à marcher lentement devant son peuple, amassé dans la cour du palais, et après un court silence, commença a décrire avec fierté sa conception de l’Empire.


L’Empire est glorieux, fier, victorieux
L’Empire aime ses incroyables soldats
L’Empire n’oublie point les siens, même s’il ne sont plus parmi nous
L’Empire c’est vous, c’est nous tous
L’Empire est digne qu’on vive et meurt pour lui
L’Empire sait prendre aux ennemis, mais aussi donner aux amis
L’Empire mérite confiance et respect
L’Empire n’a jamais peur
L’Empire ne peux être arrêté
L’Empire n’as pas de limite
L’Empire peut tout endurer
L’Empire ne connaît pas la défaite
L’Empire est puissance
L’Empire s'enorgueillit de son armée invincible
L’Empire est une histoire sans fin de victoires
L’Empire représente toutes les aspirations du monde en une seule
L’Empire est le joyau de la couronne du monde
L’Empire est la marche de divers peuples pour une seule gloire
L’Empire brille sur le monde
L’Empire est la meilleure implémentation d’une société
L’Empire est le plus grand rêve de tout dirigeant
L’Empire est l'évolution ultime d’un grand pays
L’Empire reflète la perfection de son créateur

L’Empire ne périra jamais !






*** Un Empire divin ***


Après cette longue et belle anaphore, l’Empereur chercha dans les regards de son peuple si celui-ci voulait en savoir plus sur sa vision de l’Empire. La réponse était toute naturelle. Il esquissa alors un sourire, reflétant la beauté des choses qu’il s’apprêtait à décrire.


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“Je regardai autour de moi et vis les merveilles qui m’entouraient.

L’Empire était fait de paysages à couper le souffle, le paradis sur Terre.
Un océan à l’Ouest, où l’on pouvait se promener le long de ses merveilleuses plages, remplies de sable fin et d’une couleur comme l’or le plus pur.
Des plaines d’une noble verdure sans limites à l’Est. Parmi elles se tenaient majestueusement de gigantesques montages teintes d’un blanc saint et côtoyant les nuages.
L’Empire était plus vaste qu’aucun autre pays vu par les yeux de l’homme. Ses frontières convergeaient avec l’horizon du ciel et de la terre. Cette vue inimaginable laissait sans voix tous ceux qui avaient la chance de s’y trouver ; il fallait le voir au moins une fois dans sa vie.
La beauté de l’Empire surpassait les limites de tout ce qui avait déjà été créé, c’était l’ultime création divine.

Même l’air y avait une pureté introuvable ailleurs. Par endroit, on pouvait apercevoir dans le ciel comme une poussière d’ange qui rendait ce tableau incroyable encore plus magique.
Dans de vastes espaces des ses terres impériales on pouvait retrouver la nature sous sa forme la plus pure, vierge de tout contact humain.
Parmi toutes ces beautés de la nature, qui paraissaient plus tenir du rêve que de la réalité, il y avait une route pavée d’or, si belle que la simple réflexion des brillants rayons du soleil rendait la vue encore plus fascinante. Ce chemin menait à une porte gigantesque : l’entrée de la Capitale de l’Empire où résidait l’Empereur.





C’était la ville la plus impressionnante sur Terre. Sa porte d’entrée était d’une hauteur telle qu’elle pouvais presque toucher les nuages. Elle était faite d’or et était décorée des pierres les plus précieuses que la Terre avait en son sein. Leur brillance et l’éclat de leur couleurs au soleil était tels que les voir obligeait à questionner la véracité d’une telle chose. Était-ce juste la plus belle illusion créé par l’Esprit ?
Les ruelles de la ville elles aussi étaient dorées, et tous les bâtiments de la ville étaient incrustés de pierres précieuses et de joyaux rares.
En se déplaçant dans cet endroit magique jamais vu auparavant, on ne pouvait que ressentir l’impression qu’il devait être un lieu où les Rois de la Terre étaient tous réunis.

La réalité était quelque peu différente. Point de Rois, ou Seigneurs, les personnes vivant dans cette ville, ainsi que dans toutes les autres ville de l’Empire, étaient des personnes d’apparence normale, mais au coeur pur.
La chose la plus remarquable chez eux au premier abord était leurs sourires magnifiques. Tous, sans exception, avaient ce regard souriant en permanence car ils étaient toujours joyeux. C’était comme si Dieu avait effacé leur larmes pour les remplacer par un bonheur incommensurable.

Chacun d’entre eux avait été béni de talents exceptionnels.
La vie était agréable pour tous. Plus de pleurs et larmes. Les choses telles que la pauvreté, les désastres, les accidents n'existaient plus. Il n’y avait pas de place pour la tristesse dans cet endroit béni.
La fraternité entre les citoyens de l’Empire ne pouvait être trouvée nulle part ailleurs, ils s’entraidaient dans tout et pour tout. Leur entente était parfaite et faisaient qu’ils vivaient tous en paix et parfaite harmonie.
Des écoles pour l’Esprit, mais aussi des églises pour le Coeur, telles étaient les composantes essentielles qui régnaient ici.
L'hédonisme ne faisait pas parti de leur vie. Ils avaient enfin pu découvrir une nouvelle dimension dans leur existence, ce même but final qui allait les diriger dans tous les choix qui allaient se présenter à eux durant toute leur existence : la vie éternelle.

L’Empire était ainsi le lieu de vie de ces hommes tous aussi exceptionnels les uns que les autres.

L’Empire était un chef d’oeuvre de Dieu, orchestré par l’Empereur, son envoyé et serviteur.”








*** Le message de l’Empereur ***


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“Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclairer leur siècle.”

C’est sur cette phrase au ton de mélancolie et satisfaction entrelacées que l’Empereur fit son dernier discours :

“Mes amis, j’ai vécu des moments inoubliables avec vous. Nous avons conquis ensemble de nouveaux mondes.
Nous avons montré à tous ce qu’était la bravoure, l’honneur et excellence.
Nous avons construit un empire magnifique, glorieux et merveilleux.
Tout n’y est pas encore achevé, mais tout y est déjà si beau. Je vous confie donc la tache de continuer à en prendre soin comme de la chose la plus précieuse.
Faite le progresser encore et encore vers cette vision de perfection que je vous ai transmise. Vous avez le talent et la force de le faire.
Vivez toujours en paix entre vous, dans l’amour fraternel.

Il est malheureusement temps pour moi de vous quitter. Je garderai toujours un oeil sur vous.
Au revoir mes amis. Je vais vers de nouveaux cieux où une quête divine m’attend.
Je ne vous oublierai jamais…”