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Les malheurs de Rodrigo s’accumulaient alors que celui-ci venait encore une fois de fail une BH. Mais alors une nouvelle arriva jusqu’à ses oreilles, Desperados51 offrait à 3 eCitoyens les accès aux bâtiments gouvernementaux. Le rêve pour le jeune Rodrigo, il acheta alors tous les journaux officiels, il ne les lut pas mais voulut juste trouvé un petit ticket doré qui serait son accès. Et c’est avec satisfaction qu’il finit par tomber dessus.

Le rendez-vous était donné le 12 Mars, il fallut braver la neige. Le temple gouvernemental se trouvant au cœur du forum entre les maisons de partis et le congrès, Rodrigo n’était pas perdu. Ils étaient donc 3 à attendre devant la porte, Enicay, Falcon12 et Rodrigo Borja. Ils furent accueillis par le chargé aux visites, Snapbox. Celui-ci n’avait que ça à faire… Et comme tout fonctionnaire de base, il les laissa directement avec le maître de cérémonie, Desperados.

Le hall est rempli de murmures, de sujets pas si important, de sujets désorganisés. Desperados qui cherche désespérément son MoFa, on discute des serbes, on discute des guignols visiteurs… Un secrétariat normal quoi.
Desperado prend les 3 voyeurs à part, il suspecte Enicay, et regarde bizarrement les deux autres.

-Bon on va commencer par les Journalistes, dit-il,
Ils rentrèrent tous alors dans une salle aux odeurs suaves de cocaïne. Un endroit étrange, où trônent sur les murs les traces des JO. Paluvatar, le patron du domaine, semblait très intéressé par la jeunesse de Rodrigo, mais celui-ci s’éloigna à la vue d’une image, plutôt inquiétante…

Ensuite le jeune disciple de l’ours malfaisant eu la bonne idée de raconter à tous l’histoire de son hamster. « Il s'appelait Bouffi !... ». Cette histoire value de fort vomissement au pauvre Falcon12, qui finit par crever sur place, câliné par Paluvatar.

Au ministère de l’économie, ils ne mirent pas les pieds. « Il y a une forte odeur de Roquefort, et c’est le bordel là-bas ». Les visiteurs ayant déjà perdu un comparse, acceptèrent cette idée.

Ce fut au ministère de la défense que nous perdîmes Enicay. En effet y était affiché une multitude d’image sexuellement trop explicite pour qu’il puisse continuer, et à l’heure où je vous parle il doit encore y être… Rodrigo lui dut faire face à des chiffres mirobolants de ceux qui frappèrent pour la Russie. Alors que lui est juste capable de faire ses DO. La belle Russie qui occupe toute l’attention de nos ministres, normal me direz-vous pour la terre de Despe.

Desperados fut enfin très fier de montrer au dernier des visiteurs, Rodrigo, le ministère des affaires étrangères.
- Mais il est vide, s’étonna Rodrigo
- Non, regarde bien, ce n’est pas beau ça ?
En effet il montra, une multitude de messages de félicitation. Il faut dire que cette fois-là, on a bien failli perdre Rodrigo, de fatigue il s’écroula. Mais par peur de rester coincer là, il se réveilla.

Rodrigo et le président se dirigèrent alors vers la sortie, ils croisèrent bien un ministère de l’intérieur, mais ce fut un simple placard à balais.
Alors sur le parvis du bâtiment gouvernemental, Desperados se tourna vers le dernier survivant de l’expédition. Il lui fit comprendre qu’il devait lui dire quelque chose.
- Je sais, l’interrompit le jeunot, vous ne souhaitez plus être président et comme je suis le seul à avoir survécu à la visite, vous voulez que je sois votre successeur.
- Pas du tout, je voulais juste vous dire de faire attention en sortant. Il y a du verglas, ça glisse
Ainsi Rodrigo di Borja retourna à sa pauvre vie publique…

é un gran merrci a Jean Peuplus pour aitre une nouvel foi passer dériér, moi et mon annalphabétismme