Ah ! Ben, ça alors !

Day 645, 08:34 Published in France Belgium by Ely.nea

Il y a un vent incroyable ce matin : la liberté de presse s’envole… vers un pays de la censure.

J’ai bien sûr infiltré mes plus éblouissants « reporters » sur le coup. Nelson Mon fort, n’était pas disponible mais il vous fait ses amitiés. Gérard a pu malgré tout avoir accès via son « msn » à certains propos. Attention, ceci n’est que pure fiction.

Conversations msn :

1) Arthur

- Gérard : Et bien Arthur , tu viens pas tanker en Asturias ? Coté vert 😛
- Arthur : non , je ne peux plus jouer temporairement, j’ai fait du « spamm ».
- Gérard : Comment t’as fait ?
- Arthur : Et bien, j’ai une maladie qui me fait trembler (ca commence par un P….) et au moment de cliquer pour faire post, j’ai pas vu qu’il avait été posté 10 fois !
Gérard : Ecris aux admins.
Arthur : Je peux pas, on me croira jamais !

Dommage : et pourtant Arthur était honnête.

Par solidarité pour Arthur : voici son message aux Efrançais :



http://www.erepublik.com/en/article/-consignes-26-08-22h58-stand-by-ou-defendez-le-quebec-912260/1/20


2) Bernard :

Gérard : plop Bernard, Tu viens pas tanker à Asturias ? coté vert :d

Bernard : je ne peux plus jouer temporairement! J’ai voulu dire à un espagnol que ses photos de filles étaient du spamm dans le vent en espagnole et il s’avère que la traduction voulait dire des spasmes dans le ventre à cause de ses photos de filles. Insultes et puis voilà.

Gérard : T’inquiète Bernard, je leur passerai le message.

Message de Gérard pour les Efrançais :



Vu que l'article original a été changé, je me permets de mettre un lien assez complet sur le journal de Raska52

http://www.erepublik.com/en/article/26-08-2009-912377/1/20

De retour au sein de notre petit bureau de la « flûte enchantée » . Nous tenions à vous faire part qu’Arthur et Bernard se portent bien et qu’ils vous rappellent ceci : la liberté d’expression n’est plus ce qu’elle était. C’est à celui qui dégoupille le premier sa grenade surtout en temps de guerre !

D’un coup, je tombe assise au milieu de mes divers articles tout éparpillés, et je me dis, kaliméro, lui il avait bien raison.