GME #2 [La Cosca] Ma nouvelle aventure !

Day 2,563, 06:00 Published in France France by Keyloraz


Hep ! Deuxième article GME, celui-ci un peu spécial étant donné qu'il relate ma première rencontre avec La Cosca ! Désolé pour ma plume assez banale, je tente de m'améliorer sur ce point là !
Sans transition voici mon récit !

L’esprit embrumé et bien alcoolisé, je quitte le bar des Républicains et son comptoir qui m’a tenu compagnie pendant de longues soirées. Il est tard et règne dans le centre-ville d’eRepCity un calme reposant voir carrément flippant. En effet même lorsqu’il n’y a pas un chat, il y a toujours un risque de se faire agresser par un plombier sauvage, une bande de roast-beff ou encore des sapins enragés.
Arrivant devant la station de RERep, la tuile arriva. Pas de portefeuille dans la poche arrière, ni dans les poches avant… Et moi qui me demandais pourquoi la jolie brune est si vite partie après m’avoir abordée : elle m’a fait les poches. J’aurais préféré qu’elle me vide autre chose…
Sans ticket pour rentrer, je n’avais qu’une alternative : passer par le quartier des Polaks, le malfamé Rubberish. Armé de mon colt, je prends mon courage à deux mains et pénètre dans leur territoire, où toutes sortes de choses sordides arrivent.
Tout est calme, propre voir même plutôt accueillant. On est loin de l’idée que je m’en faisais…
Mais je suis tiré de ma réflexion par un cri strident. C’est celui d’une femme, non loin d’ici. Sans penser au danger vers lequel je cours, je me précipite vers cette voix féminine.
Arrivé dans la ruelle tant bien que mal malgré mes 42 grammes d’alcool, j'entrevois une jeune femme maltraitée par un groupe de plombiers et de sapins. Et… elle porte un bébé dans ses bras. Fait rare dans eRepCity, où la démographie ressemble pratiquement à celle de « Les Fils de l’Homme »…
Mais revenons à nos plombiers, lls sont nombreux, mais mes règles m’obligent à l’aider. A propos de mes règles, j’en ai deux :
1° Toujours aider une personne de la gent féminine qui est jolie.
2° Si elle est moche, l’aider quand même, elle pourra toujours te présenter une de ses amies qui possède un physique avantageux.

Bref, je me faufile derrière eux mais ne comprend rien à ce qu’ils baragouinent, à part une phrase :
« Pourquoi éclatement de la cocaïne Nesquik le matin? »
« Pourquoi éclatement de la cocaïne Nesquik le matin? »

Bon je dois être plus alcoolisé que je ne le pensais.
Ils sont six, pas une mince affaire.
Je chope le premier et l’assomme contre le mur. Les autres étant alertés, j’attrape le premier qui me vient sous la main et le menace de le tuer si ses potes ne déguerpissent pas dans la minute.
Et… ils rigolèrent, tous. Pas exactement la réaction que j’attendais… Sans que je puisse réagir, je reçus un coup sur la tête qui me fit tituber puis tomber sur le sol graveleux. Le leader du groupe s’approche, me remet sur pied et tout en me menaçant de son arme il me questionne :
« Pourquoi éclatement de la cocaïne Nesquik le matin? »

Bordel mais ça veut dire quoi ça ?
Je reste stoïque et pense que mon heure est venue, je jette un coup d’œil en direction de la jeune fille mais elle a disparu.
Au moins j’aurais accompli une bonne action avant de rendre mon dernier souffle...
Puis j’entends un bruit sourd, puis un deuxième, j’en dénombre cinq au total. Je distingue cinq corps sans vie qui s’écroulent tour à tour, le dernier restant debout se faisant assommer puis bâillonner. Des silhouettes sortent alors de l’ombre, l'une m'approchant.


- Yop, tout va bien ? Moi c’est Miltiados, t’étais dans une bien mauvaise posture mon pote.

L’esprit encore abasourdi, je ne pipe mot. Il reprit :
- C’est cool ce que t’as fait pour la fille, beaucoup aurait décidé de fermer les yeux.

- Elle va bien ? Lui répondis-je

- Encore choquée par ce qu’il vient de lui arriver mais elle s’en remettra.
Soulagé, je regarde de plus près mon interlocuteur et ses acolytes se tenant derrière lui. Ils sont tous bien saper, en costard-cravate, et ont tous l’air assez détendu.

- Merci pour le coup de main, mais je gérais la situation.

- Ahah je n’en doute pas. Ecoute mon organisation est pleine phase de recrutement en ce moment, on a besoin de gens comme toi qui n’hésitent pas à aider son prochain et qui se donnent sans penser aux conséquences.

- Une organisation ?

- Nous sommes La Cosca ! Une sorte de grande famille qui ne cesse de grandir et qui se bat pour de nobles convictions. Nous sommes encore peu nombreux pour le moment mais nous avons de grandes ambitions pour l’avenir et sommes implantés dans de nombreuses activités, telle que la politique.

- Encore jamais vu des politiques aussi bien fringués et armés d’arme à feu.

- Il y a certaines choses qui ne peuvent être réglées par le dialogue, je t’avoue qu’on utilise parfois la manière forte afin d’obtenir ce que l’on veut mais ce sont les aléas de la vie ! S’exclama-t-il avec un petit sourire en coin.

Un de ses associés vient lui murmurer quelque chose à l’oreille.
‘’ Ok vine’’ lui dit-il puis il se retourne vers moi.

- Ecoute, notre intervention a vraisemblablement réveillé le quartier polak, et ça va grouiller de bonhommes pas très sympathiques d’ici quelques instants. Appelle moi à ce numéro si tu veux faire parti de quelque chose grand et de te mettre au service d’une juste cause.

Sans me laisser le temps de répondre, il se retourne et part avec ses collègues.
Trois jours plus tard et après une longue méditation, j’en conclue que j’ai besoin de tenter de l’expérience. Je saisis alors le téléphone et compose le numéro :
- J’en suis. »



Merci d'avoir lu, et j'espère que vous avez apprécié les différentes références placées dans cette histoire !
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Auteur et salarié de la Maison d'édition de Vine

© Keyloraz