La Disparition d’un Empire

Day 2,413, 07:18 Published in France France by Alexandrin



► La Disparition d’un Empire


L’exploitation

Un beau matin de printemps, j’observai mes champs. Mes employés travaillés ardument et l’on pouvait voir couler la sueur sur leur front. A la vue de leur première récolte, je pouvais estimer que l’on pourrait rembourser le prêts finançant les études de mes enfant. Tiens, mes enfants, parlons en, mon fils et ma fille étaient à l’école universitaire de Tolana, ils voulaient devenir de Hauts-Dignitaires de l’Empire au lieu de reprendre l’exploitation familiale le jour venu. Mais bon, comment pourrais-je refuser cela à la chair de ma chair, à mon sang. La seule chose qui pose problème, c’est la distance entre les enfants et leur mère. Cette dernière, bien qu’assez occupée par les personnes âgées de la maison de repos du village, s’inquiète jour et nuit des conditions de vies de ses petits. J’ai beau essayer de la rassurer en lui rappelant qu’ils étaient loger dans des résidences sécurisés, la peur des hérétiquo-terroristes reste présente en elle. Personne ne peut défier et vaincre notre Empereur, et nos enfants son maintenant sous sa divine protection au seins d’une de ses grandes écoles. Quant à moi, je suis exploitant agricole, notre village fait parti de ce que l’on appel, « l’anneau Tolanien », c’est globalement, la parti rurale de la citée, et dans celle-ci, je possède l’une des plus grande concession de l’Empire. Malgré cette lourde tache qui m’est de diriger tout ce « méli-mélo » administratif afin de permettre le bon fonctionnement de l’exploitation, j’avais prévu de réparer notre télévision qui était tombé en panne hier soir.
Après une bonne demi-heure, et quelques coups de jus, je n’eu réussi qu’a capter la chaîne Officielle de l’Etat, le sons n’était pas parfait et l’image forte grisâtes, mais l’on pouvait comprendre le journal télévisé comme il le fallait. Quand ma femme rentrera du travail, je serais obliger d’admettre qu’il faudra appeler un dépanneur le week-end prochain. Mes compétences en la matière ne son finalement pas si développer que ça.
Le soir venu, ma femme et moi nous installons devant notre diner, au préalable préparé par notre excellent chef cuisinière. Au menu, dinde farcie et gratin de courgette, tout cela provenant bien sûr de notre exploitation. Nous étions confortablement assis, en train de déguster notre délicieux repas devant les informations impériales, quand, à notre grande surprise, s’afficha un message d’Alerte sur notre écran de télévision; suivi d’un voie qualifiable de « robotique » collationnant le dit message.











« Heureux oui, bien heureux, ceux-là dont les remparts déjà s’élèvent »
-Virgile





Les nobles sales cons

Lorsque nous entendîmes les premières sirènes d’alarme, moi et mes conseillers avons couru devant notre poste de télévision. Le message était clair et concis. La loi-Martiale était entré en vigueur. Nous prenons alors attache avec le Haut Commandement des armées et nous recevons l’ordre d’escorter les dignitaires et Hauts Fonctionnaires de l’Empire en direction des abris fortifiés les plus proches, quitte à faire évacuer de force les civils ayant déjà prit place dans les abris. En tant que Commissaire-Général des Forces de Réserves Impériale, mon devoir m’ordonne de ne pas faillir aux ordres de mes supérieurs et de protéger coute que coute la vie de nos gouvernants.
C’est alors qu’un mouvement de foule apparu dans le secteur Echo, non loin du chantier naval du Vicomte Enothis Saedus, la population refusait de sacrifier sa vie pour la survie de leurs dirigeants. Nous devions alors faire quelque chose. La basse-populace commença à charger mes troupes, un vent de panique s’empara de mes hommes, c’est alors que je dût donner l’Ordre. Mes soldats ouvrirent le feu sur les opposants, les rafales fusaient dans tout les sens, ses chiens s’effondraient sur le sols uns après les autres. Ils essayaient de riposter, mais vainement, mes troupes restaient de marbres et gardaient leurs lignes. La vie des dignitaires de notre Empire est plus importante que celle de ses gueux. Nul ne peu s’opposer à la volonté de L’Empire. Bien que certains peuvent qualifier cela de « crimes de guerres », je préciseraient que je n’ai fait qu’obéir aux ordres de mes supérieur ; je ne suis que leur exécutant.








« C’est là qu’entra Hector. Sa main tenait une lance haute de onze coudées; la hampe, où la cernait un anneau doré. »
-Homère





Une « noble » peur






La Perte d’un peuple








« La chose la plus importante au monde n’est pas de savoir où nous sommes, mais dans quelle direction nous allons »
-Olivier Wende Holmes





La fin d’un Empire

Ca y est, nous y sommes. Le point de non-retour. Notre dernier souffle est là. Ils pourront dire «  ont vous avez prévenu », mais que nenni, nous avons fait notre devoir et obéi à nos convictions. Moi et le Lieutenant tenons dans nos mains les clés de la rédemption. Mettre fin aux souffrances de notre peuple. Mettre fin au souffrances de notre Empire. Ce que nous allons faire restera gravé dans l’histoire. Plus qu’à transmettre le dernier message officiel de l’Empire. Plus qu’à insérer nos clés simultanément dans l’ogive. Plus qu’à dire: « Augustus Marétid III, Grand-Gouverneur de Tolana, serviteur de l‘Empereur » Donne l’ordre d’activation de « l’Ordre Dernier » certification Alpha 11-7 »…