[JVC] n°2- Un trooper chez les mafieux !

Day 2,599, 12:59 Published in France France by Valmy


… se trouvait une planète, ma planète enfin la mienne non, en vérité j'avais été envoyé en mission la bas. Les gens avec qui je travaillais, ils me ressemblaient tous je vous jure c'était la galère dans les vestiaires bref on était environ quelques milliers en train de bosser sur une planète nommée Tatoouine. Comment est-ce que j'étais arrivé la ? Je ne sais pas vraiment, je suis né et j'ai grandis, un jour on m'a donné une armure trop classe et un grand beau gosse style acteur hollywoodien m'a dit de le suivre pour aller prendre un temple Jedi parce que disait-il, il voulait rétablir la paix, moi comme d'habitude j'ai suivi le mouvement en prenant mon blaster de compèt' .

Bref je vous passe les détails mais plusieurs années plus tard on m'envoie sur cette planète désertique, au premier abord elle donne pas vraiment envie de rester mais il paraît que les courses de modules et les bars sont cool donc why not.

Arrivé à Tatooine, mon unité à été divisée en deux, le premier groupe a eu pour ordre de régler leur compte à une famille de fermiers quant au mien on s'est encore tapé le sale boulot c'est à dire remplacer la police municipale locale en faisant des patrouilles et des check point un peu partout pour contrôler les speeders et les droides.

Après plusieurs heures passés sous le cagna, avec mon uniforme de trooper je crevais de chaud ! J'ai pas vu passé beaucoup de monde mais à un moment des gens se sont arrêté et un vieux fringué en SDF m'a fait un signe de la main et la bah oui bon c'était pas les droides que je recherchais c'est tout on va pas en faire un plat. Peu de temps après j'ai entendu dire qu'une baston avait éclaté au bar de jazz galactique du coin..



Le problème c'est qu'ensuite je me suis bien fait engueulé parce que ceux que je devais arrêter avaient réussi à se barrer et soi-disant c'était de ma faute.. Alors la j'étais foutu, autant les chefs étaient tolérant sur le fait qu'on fasse de la contre-bande d'arme en tout genre du blaster aux grenades en passant par des pièces détachées du tie de Vador, autant la je venais de faire foirer toute la mission ! Je n'avais plus le choix il fallait que je fuis le plus loin possible ! J'ai retiré mon uniforme dare-dare et je l'ai balancé dans une maison au pif.
Le temps que ça se calme je suis allé me poser dans le bar que j'ai évoqué tout à l'heure.



Oui la c'est moi (on m'a souvent dit que je ressemblait à Michael Pitt.. les gens sont bizarre) les yeux perdu dans le vide en train de me dire : qu'est ce que je vais bien pouvoir faire maintenant ? Sans moyens de quitter ce foutu désert, recherché par mes anciens collègues, j'étais limite nervous breakdown . Comme je n'avais pas d'argent j'ai ramassé en douce le portefeuille d'un Rodian du nom de Greedo qui avait appris le respect un peu plus tôt dans la journée. Dans ce gros larfeuille j'ai trouvé assez d'argent pour me barrer à l'autre bout de la bordure extérieure, mais j'ai également trouvé les noms et emplacements des planques de ce petit Greedo sur différentes planètes. J'ai joué la sécurité en prenant une petite planète nommée Terre très très éloignée de tout ce bordel.

Quelques jours plus tard je débarque enfin sur cette planète toute bleue. Les locaux sont sympa, ils adorent l'alcool, faire la fête et la violence, c'est nickel c'est tout ce que recherche !
Après avoir mené mon enquête pour savoir ou je pourrais utiliser au mieux mes talents (aka mon blaster) un seul nom est toujours revenu : La Cosca.



J'ai obtenu un rendez-vous avec le patron, Miltiados, le type était vraiment super cool et on voyait qu'il savait de quoi il parlait, dans sa branche c'était un expert. Son associé Vinegifa était assis un peu plus loin et on sentait qu'a tout moment il allait sortir son flingue pour m'en coller une dans le buffet, c'était des pros. Cette ambiance « je te reçois mais si ça tourne mal tu ressortiras les deux pieds devant » m'a tout de suite plu !


Petit à petit, j'ai commencé à rencontrer les autres membres, étant le petit dernier, j'ai naturellement obéis aux ordres, appuyé sur ma gâchette quand on me disais de le faire et surtout je n'ai pas dragué la femme du patron (y'en qui ont essayé ils ont eu des problèmes).
Plus qu'une mafia, La Cosca est devenu une famille, et plus qu'un endroit ou je prenais mes cuites, le Cabaret est devenu un maison.



La Cosca : http://www.erepublik.com/en/party/la-cosca-4024/1