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Bonjour à tous, et merci de votre passage, voici le troisième numéro d’une longue série, je l’espère. C’est de loin celui qui m’a demandé le plus d'investissement, entre la refonte graphique et l’émergence de nouvelles idées, et la mise en forme de mon projet.
Tout d’abord, un grand merci à Tonton Lib(erticide) pour le nouveau header et le logo, c’est très loin de mon niveau ! J’ai tenu compte de certaines de vos remarques et refondu les séparations pour qu’elles soient plus lisibles.
Je pense que c’est ici que ce journal prends un tournant. J’ai le projet d’en faire le “Roi des Pavey”, avec toujours plus de contenu de qualité. Plus de détails un peu plus bas !
La publication tardive de ce numéro est principalement due aux difficultés que j’ai rencontrées lors de l’écriture d’une nouvelle correcte, j’espère que vous l’apprécierez.
La forme risque encore peut-être de changer dans le prochain mois, mais le journal s’approche de sa forme définitive. Ainsi, vous pourrez retrouver un peu de lecture, le Point Mafia, des défis, la review de presse et quelques conneries aussi.
J’ai besoin de vos commentaires pour la mission de journaliste senior, n’hésitez pas !
Bonne lecture !






J’ai beaucoup réfléchi ces derniers temps, pendant que je me torturais l’esprit pour écrire une nouvelle à publier. Et je me suis tout simplement rendu compte que seul, je ne pouvais pas atteindre mes objectifs.
J’ai l’envie de publier un journal qui se veut assez conséquent et diversifié, pour divertir, d’où le “Social interactions and Entertainment” . Cependant, avec mon rythme de vie actuel, il m’est tout simplement impossible de produire un contenu aussi dense, par manque de temps.

C’est pour cela qu’aujourd’hui je fais appel à vous, à ceux qui le voudront, de me rejoindre et m’aider dans mon aventure. Et comme tout travail mérite salaire, il y aura évidemment rétribution, même si pour moi, la plus grande récompense est et sera toujours celle d’être lu et reconnu.
Je propose plusieurs postes de rédacteurs, à des sections importantes et reconnues dans le jeu, et une opportunité pour certains de s’exprimer, de réaliser un projet journalistique.
N’hésitez pas, si vous êtes intéressés, et postulez ici :



Quand j’étais encore un eBaby, comme beaucoup j’imagine, j’étais un peu perdu, surtout au début. Et après m’être renseigné et intégré à la communauté, il m’a semblé essentiel, pour me développer, d’avoir un revenu constant me permettant de me développer, alors, je me suis mis à travailler et à m’entraîner. Et vous avez sûrement remarqué, comme moi, qu’il y a 4 centres d’entraînement différents, améliorables chacun suivant 4 niveaux ! Mes instincts de bébé scientifique se sont réveillés et je me suis demandé quelle combinaison, entraînement, était le plus rentable en Golds ou en Force. Et là, j’ai découvert un outil que je partage avec vous, car il est bien utile à tout le monde, et qui m’a évité de me taper d’horribles calculs à la main :


Vous pouvez faire mumuse avec, mais pour vous éviter de chercher ( car je sais que vous êtes sûrement aussi flemmard que moi), voici les combinaisons les plus intéressantes :

- Rentabilité maximum en golds : TG1 Q4 et TG2 Q4 pour un bénéfice quotidien de 31.8 force et 0.446 G (bonus journaliers inclus)

- Gain de force maximum possible au moindre coût : Tous les TG Q4 avec le contrat de réduction d’entraînement à -90%

Pour d’autres combinaisons, plus spécifiques et personnalisées, je vous laisse utiliser le calculateur !




Cette nouvelle m’a demandé du temps, et à été le principal frein à la publication de ce numéro (le deuxième étant la flemme et le troisième la “refonte graphique”), mais j’espère que vous l’aimerez !

Il me semble clair, aujourd’hui, que l’économie et même au-delà, l’idée de commerce et de finance soit intimement liée à l’identité du genre humain. Si l’on considère premièrement notre nature, l’homme serait une masse de désirs mêlés, et parmi eux, d’abord les besoins tels que la faim et la soif et ensuite, la convoitise, l’envie de posséder.
Il paraît alors tout à fait évident que l’échange serait très pratiqué entre nous : chacun de nous est fini et soumis a des contraintes, ce que nous ne pouvons pas créer ou obtenir, nous pouvons l’échanger à un semblable contre un bien que celui-ci posséderait.
L’homme s’étant sédentarisé, il eu alors deux problèmes en moins à régler : la nourriture et l’habitat. Cependant, de ce nouveau statut surgit de nouveaux “besoins” au sens économique du terme et au fur et à mesure de l’évolution de l’espèce tels que simplement, les vêtements, les outils, les bijoux. De plus, un système monétaire s’est évidemment créé, du fait des limites du troc : si on devait échanger une maison contre des poulets, ça ferait beaucoup de poulets et il y a tellement de biens et d’objet, un moyen d’échange unique s’est imposé pour normaliser les échanges.
Les routes commerciales se développèrent et des grandes compagnies apparurent, et plus tard, avec les avancées technologiques, les échanges et communications se fluidifièrent entre fournisseurs, manufactures et lieux de distribution et sièges sociaux.
Le commerce est partout, autour de nous, rythmé par les marchés, les États, les bourses, les consommateurs, l’information et même les magouilles.
Tout est relié, l’offre, la demande, les coûts, les prix et les taux. Tous les acteurs sont reliés, de la chaîne de production au réseau marketing, et dirigés par les actionnaires via leur pantin à la direction.
Telles des fourmis, enchaînées et conditionnées par la finance et la consommation, chacun à sa place, tout est sous contrôle, le travailleur est dépouillé de ses droits, exploité par son directeur qui revends ensuite sa production - service ou matières premières - avec une marge énorme à une compagnie qui les transformera a un prix ridicule pour revendre un produit fini dans le monde, se permettant même le luxe de prévoir une marge indécente. Marge, marge, coûts… Le capitalisme à son apogée ne voyant plus l’humain délocalise et s’arroge le droit de sous-payer, d’exploiter jusqu’aux os la misère du monde pour augmenter la marge, réduire ses coûts, augmenter les dividendes. Les riches s’enrichissent, et les pauvres, peu à peu dépouillés de leurs vêtements n’ont plus que leurs yeux pour pleurer, s’il leur reste une larme à verser.
Ah ! L’argent, celui qui fait tourner toutes les têtes, les hanches et les guerres. Mais rien, rien ne saurait être plus faux ou absurde, quand la valeur qu’on lui donne n’est que celui de la spéculation forcenée du pire des animaux, aveuglés par ses désirs et perdu dans une société pour qui même la vie a un prix.
Si on en revient aux fourmis, entre ouvrières, soldates et reine, l’échec de certaines peuvent précipiter la décadence de la communauté. Alors pourquoi personne, dans notre système ne se dresse, pourquoi ceux qui sont à la base de la chaîne ne se révoltent pas ? Bien évidemment parce que d’autres seront là, pour prendre leur place, aussi ingrate que soit la tâche, et même, l’économie peut se passer d’eux, une magique sorcellerie que les automates, infatigables et non syndiqués.
Il existe de nombreux parasites, qui profitent, usent et abusent du système, certains en sont même les principaux acteurs ou dirigeants. Quelle ironie, être son propre cancer. Mais il adviendra un moment où ce système s’effondrera, il est déjà à bout de souffle, sous perfusion, et spéculer encore et encore, tricher sur les cours et devises, rendra la chute encore plus rude. C’est ça la magie, la finance n’est que du vent, les mêmes s’enrichissent, l’économie est au-dessus encore des États, l’apogée de la déchéance humaine.
Ah, pour ma part, je suis sûrement bizarre, à avoir ce genre de réflexions avant d’aller au boulot, je fait partie de ce système, de la même manière que la vie appelle la mort, où tout simplement, qu’un parasite est lié à son hôte par la simple existence de ce dernier. Vraiment bizarre, il faut que j’arrête. De toutes façons, c’est l’heure, fini de rêvasser, avec ces idées noires, j’essaie peut-être de me convaincre d’avoir une conscience. Enfin, il faut vivre, et ce n’est peut être pas si terrible. La fourgon s’arrête, et c’est parti, au “boulot”. J’ajuste mon masque et c’est parti. On sort rapidement du véhicule, dont le moteur continue de tourner, on trottine vers la porte de l’enseigne nous faisant face. Un associé ouvre la double-porte verrée; je m’y engouffre, dégaine l’arme de poing que je porte à la ceinture, la pointe en l’air et tire. Dans la lumière blafarde du petit matin baignant la pièce de halos sinistres, dont les ombres s’étirent derrière les piliers, ma voix résonne dans l’atmosphère tendue, tandis qu’une odeur de poudre se répand dans les secondes qui commencent à s’étirer : “A terre, ne bougez pas et tout ira bien. Ceci est un braquage”.


Dans ce troisième point Mafia, nous allons nous intéresser à Paul Carbone, parrain d’origine corse et figure du grand-banditisme français.

Né en 1884 et mort en 1943, il aura largement eu le temps de “réussir” sa vie de bandit. Il rencontre son futur associé François Spirito en Egypte où ils y montent un mini-empire sur la prostitution.
A Marseille, il est très influent, propriétaire de maisons closes, écumant et rackettant toute la côte, et contrebandier avec l’Italie, à l’époque ou celle-ci était mise à mal par l’embargo français suite à l’invasion de l’Ethiopie par l’ancien État fasciste.
Il fait écho jusqu’à Paris où il possède des établissements et est le premier avec son associé à importer de l’opium en France pour le transformer et l’envoyer aux États-Unis sous forme d’héroïne.
Dans l’entre-deux guerres, il fait alliance avec le premier adjoint à la mairie de Marseille, et ses hommes participeront notamment à la répression de la grève des dockers de février 1934. En avril, il sera lié à l’affaire Prince, mais intouchable juridiquement, par la construction d’alibis solides.
Pendant la guerre, il collaborera avec les Allemands, par intérêt, ce qui lui permis de continuer ses “affaires”.
Il mourra dans un déraillement de train, sabotage de la Résistance. Les jambes sectionnées, il aurait dit aux secouristes : “Moi, c’est foutu, occupez-vous de ceux qui peuvent être sauvés.”
Il agonisera et rendît l’âme, cigarette à la bouche : “C’est la vie…”




"Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes." Les Shadocks



Deux problèmes probabilistes et un exercice digne de ce nom pour ceux qui étaient plus "Français" au lycée. Essayez de ne pas être tenté de faire appel au joker Google.
Répondez en message privé !

Problème 1 : Un coffre à une combinaison de 10 chiffres (0 inclus), combien de combinaisons sont possibles ?


Problème 2 : Un QCM comporte 20 questions. 5 réponses sont proposées pour chacun des questions et une seule est la bonne. Quelles sont vos chances d’avoir bon à l’ensemble du QCM en répondant totalement au hasard (ce qui n’arrive évidemment jamais) ?


Défi de Français : Pour ceux que l’envie d’écrire démange, écrivez une nouvelle fantastique, pour publication dans un hors-série (je pense, enfin, je ne permettrai pas de faire un concours).

Je m'excuse pour les anciens problèmes, tous les participants avaient juste, et je vous félicites, mais je n'ai plus les noms, j'avais oublié que les messages sont effacés passé un certain délai, mon mauvais :c


Voici la review de presse, de journal officiel à coup de pouce, en passant par des surprises !

Dernier Info-Défense en date : http://www.erepublik.com/en/article/-rf-infodef-25-01-on-repousse-republic-of-macedonia-arym--2490852/1/20

Bulletin du MinÉco : http://www.erepublik.com/en/article/-rf-mineco-le-compte-est-bon-2489136/1/20

Article de Gigilatrik sur l'annonce des Resource Wars : http://www.erepublik.com/en/article/new-event-ressources-war-2490385/1/20

Cours d'Histoire avec Elynnie : http://www.erepublik.com/en/article/7-years-a-slave--2490457/1/20

Une agréable surprise, les jeux de mots foireux de Blaguecchetta : http://www.erepublik.com/en/article/just-a-joke-1-1-2490444/1/20

Appel aux 25 commentaires (Mais que fait la LBC !) :
http://www.erepublik.com/en/article/qu-te-25-commentaire-n3-2490372/1/20
http://www.erepublik.com/en/article/quete-25-commentaire-n2-2490904/1/20


Certains d'entre vous auront remarqué la présence d'un ruban noir sur le header de ce numéro : c'est un hommage à Charlie Hebdo, et un cri pour la liberté. Je prévoyais de publier ce numéro suite aux attentas avec une réaction et un appel à l'intelligence mais je me suis ravisé.

"Ce sont toujours les cons qui l'emportent. Question de surnombre !" - Frédéric Dard

"Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire." - Evelyn Beatrice Hall, dans son livre "The Friends of Voltaire" dans lequel elle résume la pensée de ce dernier (et non pas Voltaire, correction de ma part).