TO en ePérou, du fer aux enfers

Day 942, 02:02 • Published in France France • by B.A.F. Medias
TO en ePérou, du fer aux enfers



Il y a quelques temps déjà, des articles en provenance de l'ePérou ont interpellé l'attention d'une partie de l'opinion publique eFrançaise, appelant à la solidarité internationale pour délivrer leur pays d'une occupation sans visage... Enquête.

Histoire de l'ePérou :

L'ePérou est né le 10 juin 2009, en même temps que quatre autres pays d'Amérique latine (l'eBolivie, l'eColombie, l'eParaguay et l'eUruguay). De ces cinq nations, l'ePérou est la plus riche puisque elle possède trois ressources "High" : le grain, le bois et le fer si convoité. De ce fait l'ePérou rejoignit le club très fermé des six nations eMondiales à posséder au moins un gisement de fer d'importance majeure.

Dès les premiers jours de son existence, l'ePérou connût une forte et rapide période d'immigration de laquelle émergèrent trois groupes principaux : l'un était composé de péruviens IRL, d'argentins et d'espagnols, le second de citoyens américains attirés par l'aventure que constituait la création et la structuration d'un nouvel état, et le dernier d'une flopée de joueurs étrangers venus s'enrichir.
Des deux premiers groupes naquirent deux mouvements politiques qui devinrent les deux principales formations politiques des premiers jours de l'ePérou : respectivement le parti des "Fundadores de Peru" (FDP) et le "Partido de Exelencia Peruana" (PEP).
Les premières élections présidentielles furent remportées par le FDP et Maskus, péruvien IRL, qui jetèrent les premières bases du pays (forum officiel, armée, hôpital Q5, économie, diplomatie, ... etc). De nombreux groupes de TO-ers se formèrent également et tentèrent de prendre le contrôle du pays et de ses deux principaux partis, sans succès. De dépit, ces groupes intriguèrent pour faire basculer l'ePérou dans le chaos, et furent probablement à l'origine du bannissement de Maskus - officiellement pour multicompte. Après le bannissement du premier président péruvien, Chisholm, fondateur du PEP prit la barre.
La présidence de Chisholm fût marquée par un manque de communication à l'égard des citoyens péruvien, malgré un cabinet très actif, mais surtout par le casse de la Banque centrale péruvienne : sans qu'aucun hack ne soit constaté, plus de 2.000 golds et 100.000 Pen furent dérobés via le monetary market.
Le troisième président péruvien à être élu fût Jockey,candidat d'une coalition nationale formée en réaction à un douteux et important afflux de citoyens polonais vers l'ePérou.
Le dernier président péruvien légitimement élu fût Wally Wilson. Malheureusement durant son mandat les TO-ers polonais prirent le contrôle du congrès et initièrent avec succès une procédure d'impeachment à son encontre.
Dès lors, tous les présidents élus en ePérou fûrent issus des partis TO-ers polonais, et leur unique action consista à transférer les recettes de l'état vers des groupes paramilitaires polonais bien connus, tels que GROM ou PMTF.



Ce n'est que lors des dernières élections au congrès que le Movimiento Anti-TO PERU UNIDO réussit à reprendre le contrôle de la moitié des sièges. Malheureusement, le jour même de l'élection présidentielle qui suivit, le candidat ATO péruvien, Arrugador, fût banni dans des circonstances très étranges par les admins pour multicompte.

Méthodes des TO-ers et lutte Anti-TO :

La prise de contrôle de l'ePérou par les polonais fût grandement aidée par les admins, indirectement... ou pas !
En effet les vieux joueurs s'en souviennent sûrement, le 29 juillet 2009, la "citizenship" fit son apparition dans eRepublik. Censée aidé les pays vulnérables à se défendre contre les tentatives de TO, cette mesure signa la mise à mort de l'ePérou. Effectivement, lors du daychange de cette journée fatidique, tous les joueurs prirent la nationalité du pays sur le sol duquel ils se trouvaient... Or quelques instants avant le daychange, plus d'une centaine de citoyens polonais émigrèrent vers le Pérou et acquirent ainsi le précieux sésame qui leur permettrait de faire main basse sur le trésor des descendants des Incas. Chisholm utilisa dans l'un de ses articles un terme qui résume parfaitement la situation : l'ePérou était perma-TO.
Les bannissements d'un président légitime péruvien et d'un candidat à la présidence allant contre les intérêts des TO-ers, et ce à chaque fois à des moments critiques (période de structuration de l'état, et jour même de l'élection - donc sans possibilité de nommer un candidat "de secours&quot😉 sont également des faits troublants. Encore plus troublante est l'ironie découlant du motif de cette sanction (multicompte) lorsque l'on sait que celui ci est l'une des armes de prédilections des TO-ers qui oeuvrent au Pérou pour faire élire leurs candidats.
Impuissance, indifférence ou complaisance des admins, les TO-ers semblent avoir encore de beaux jours devant eux.

Les péruviens ont toutefois pu compter sur un relatif soutien d'une part de la communauté internationale, surtout en Amérique du sud, pour lutter contre la main mise des polonais sur leur pays.
Effectivement, certains s'en souviennent peut être encore, il y a quelques mois de cela le Brésil et l'Argentine soutenus par la population péruvienne, se lancèrent dans une campagne de conquête du Pérou. Le pays rayé de la carte, le congrès et le gouvernement aurait pu être débarrassés des TO-ers. Malheureusement ces derniers firent appel au gouvernement polonais ainsi qu'à leurs alliés espagnols pour faire tourner court cette campagne de libération. Les armées argentines et brésiliennes furent repoussées par le Pérou (autrement dit par l'Espagne et la Pologne), et lors de la contre attaque la région North Brazil fût même annexée.



En échange de son intervention, le gouvernement polonais reçut dés lors 50% des recettes de l'état péruvien.
Cette réaction de l'Espagne et de la Pologne montre bien le soutien clair qu'accorde les gouvernements de ces deux états à la mise aux fers du peuple péruvien par les TO-ers.

Maintenant lecteur, citoyen eFrançais, tu sais tout de ce qui se trame dans ce pays perché au sommet des Andes.
Toi qui a aussi eu à subir le joug de ces nations qui foulent aux pieds la liberté des peuples à disposer d'eux mêmes par des méthodes déloyales et contraires à l'éthique du jeu, toi qui a eu à souffrir de l'indifférence ou de la complaisance des admins en diverses occasions, fermeras tu les yeux sur la mise en esclavage de tout un peuple ?

Et si jamais ton coeur restait insensible au sort du peuple péruvien, pense que l'or que les polonais leur dérobe est utilisé contre nous et contre nos alliés.

Si tu souhaites te joindre à la lutte ATO du Pérou, inscris toi sur le site officiel de l'ePérou et présentes ta demande de naturalisation ici : http://erepublikperu.com/foro/viewtopic.php?f=70&t=1747

Le B.A.F. s'engagent en ePérou :

Le nouveau régiment international du B.A.F., le B.A.F.I., s'est engagé à soutenir la lutte ATO en ePérou. Une dizaine de miliciens a d'ores et déjà obtenu la nationalité péruvienne, venant s'ajouter aux nombreux citoyens eFrançais déjà engagés dans le combat pour la libération de l'ePérou, et se tient prêt pour les prochaines élections au congrès qui promettent d'être serrées entre les TO-ers et les représentants légitimes du peuple péruvien.
D'autre part, le régiment s'est également rapproché d'une unité d'élite péruvienne, le Batallon Huascar, en vue d'une éventuelle collaboration.

L'ePérou participe à la campagne de libération de l'eFrance en Aquitaine et en RA

Reconnaissants pour l'aide désintéressée apportée par de nombreux eFrançais dans la lutte ATO, les ePéruviens ont décidé d'envoyer un bataillon combattre dans les batailles de RA et d'Aquitaine, et ce malgré leur manque de revenus.

Anton Chighur, reporter pour le régiment B.A.F.International

Forum du B.A.F. <= Pour nous rejoindre, c'est par ici 😉

Sources :
- Témoignage d'Asterix69 : http://erepublikperu.com/foro/viewtopic.php?f=70&t=1752
- Peru - eRepublik Official Wiki
- "Something I probably should've written a long time ago", Sentido Comun, Chisholm
- "Fight to free Peru from TO groups !", The Thoughtful Observer, Wally Wilson