Future of the Swiss Nation

Day 380, 13:54 • Published in France India • by Elvea

French below.

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Because nobody wants to understand the truth,
because everybody acts blindness,
because each loses the objective of what is taking place,

please stop waring and being incensed to you by written way some against the others.

There is nothing worse that fighting for something without knowing why.

France isn't anymore, for some time, against the independence of Switzerland. The proof is negotiations began one month ago.

The various problems met during these negotiations were owed to the problems of representativeness of Switzerland. Never France hindered the negotiations. Only the small internal battles of the Swiss people in charge are the cause of the extra time of these negotiations.

It is hypocritical to say France is against the independence of Switzerland while it fights for a month for it.

It was pulled by these negotiations Switzerland would obtain its independence on December 15th. These negotiations allowed the Swiss:
- To obtain the remaining Swiss capital in the boxes(cash desks) of the eFrance for a weak cost.
- To obtain a stable, healthy, peaceful relation even friendly with France
- To obtain the help(assistant) of France in the reconstruction of Switzerland
That's what Switzerland is on the point to lose. That's why France fought today.

Here is the point. If Switzerland abandons any hostility before the end of the negotiations, I commit to the fact that nothing blocks the sovereignty of the Swiss State from the obtaining of their independence, on December 15th.

If hostilities are engaged, I shall not support the Swiss State and nothing will be opened in the reconstruction of this country. No agreement will be crossed and any bottom loosened for the help of this country.

It is necessary the Swiss nation takes its responsibilities and stops be manipulated every time a leader speaks.

My commitment is clear, transparent and know that it will be respected, whatever happens.


Elvea, candidate in general elections of December 5th, 2008.

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Parce que personne ne veut comprendre la vérité,
parce que tout le monde agit aveuglement,
parce que chacun perd l'objectif de ce qui se joue actuellement,

veuillez arrêter de guerroyer et de vous acharner par voie écrite les uns contre les autres.

Il n'y a rien de pire que de se battre pour quelque chose sans savoir pourquoi.

La France n'est plus, depuis un certain temps, contre l'indépendance de la Suisse. La preuve en est que des négociations ont commencées il y a un mois.

Les différents problèmes rencontrés durant ces négociations étaient dus aux problèmes de représentativité de la Suisse. Jamais la France n'a entravé les négociations. Seules les petites batailles internes des responsables suisses sont la cause de la prolongation de ces négociations.

Il est hypocrite de dire que la France est contre l'indépendance de la Suisse alors qu'elle se bat depuis un mois pour cela.

Il a été tiré de ces négociations que la Suisse obtiendrait son indépendance le 15 décembre. Ces négociations permettaient aux suisses :
- d'obtenir les fonds suisses restants dans les caisses de l'eFrance pour un coût faible.
- d'obtenir une relation stable, saine, pacifique voire amicale avec la France
- d'obtenir l'aide de la France dans la reconstruction de la Suisse

C'est tout cela que la Suisse peut perdre. C'est pour cela que la France s'est battue aujourd'hui.

Voici mon ultimatum. Si la Suisse abandonne toute hostilité avant la fin des négociations, je m'engage à ce que rien n'obstrue la souveraineté de l'État Suisse à partir de l'obtention de leur indépendance, le 15 décembre.

Si des hostilités sont engagées, je ne soutiendrai pas l'État Suisse et rien ne sera engagé dans la reconstruction de ce pays. Aucun accord ne sera passé et aucun fond dégagé pour l'aide de ce pays.

Il est nécessaire que la nation Suisse prenne ses responsabilités et cesse de se faire manipuler à chaque fois qu'un dirigeant prend la parole.

Mon engagement est clair, transparent et sachez qu'il sera respecté, quoi qu'il advienne.

Elvea, candidate aux élections présidentielles du 5 décembre 2008.