Exposé des stratégies militaires possibles – French military issues

Day 777, 15:07 Published in France France by Ivan Dusaiks


French people at agony... While "friends" are playing in Asia.

Version FR plus bas.


As you may have noticed that, the french headquarters decided once again to try the retreat strategy to take back the initiative on Spain. Of course, this kind of strategic maneuvers are not very well known, because the term initiative itself is technical.

Initiative is a simple thing : the possibility to attack, and as long as you attack, you cab keep initiative forever, even if you do not conquer a region. You just have to be able to launch a new attack, again, and again, and again... This is the current spanish strategy against France. Of course this rule is stupid, and unbalanced, but anyway, it's the game.

The only wat to gain initiative is to secure a region without any other attack before the battle end. This is why France tried to retreat several times before the end of Picardy. Of course it doesn't work, because of lags, because presidential ordrer are ideal if you want to see more often the headless chicken, and because the spanish president is always online (yes, a nolife) to launch a new battle.

Actually, we have two possibilities to take back initiative : another country attacking Spain, but no one seems to be wiiling to move their fat *ss for us since a few weeks – Brasil has been ignoring us for a month, even if he as the capability to help –, and the other strategy is the one of the last attackable region.

This one is radical and extrême, but it works. With only one attackable region, it is impossible to launch a new battle before your opponent secures his region, and if he secures, the poor and opressed country can launch an offensive on his homeland.

Of course, our friend and allies of phoenix does not want to hear about such a thing, because a general retreat would mean an open way from Spain to UK, but the fact is that for weeks, we are absolutely tired of defending our country alone, and it may be the right time to play our last card : our geographic position. If we do not protect our regions, western Europe will fall. Whole western Europe.

I personnaly approve such a strategy, or to the idea of such a strategy, to put our allies or former allies under pressure. We are ready to let them down, since they let us down for weeks. If they don't do anything, Croatia, Spain and Poland will share the French fat cake, Croatia and Spain with high wood, Poland with a way to go to Peru high iron through us, Spain and Venezuela. If we don't do anything, if we don't fight to death for people who do not even send a little help, as they expect us to do so, phoenix itself, the « great phoenix » will be in danger. If we only think to our own interest like some other countries obessed by their asian adventures, then in six month europe will be united : united under the spanish, polish and Croatian banner.

And if France does not protect you while you let us die ? Its our last card, we can play it !
If you save us you protect yourself...


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Note : la fin de la version anglaise est un peu plus incisive.

Comme vous l'aurez remarqué, l'état-major français a ce soir décidé de tenter une fois de plus la stratégie de retraite pour reprendre l'initiative. Évidemment, cela ne parle pas forcément à tout le monde, parce que tout le monde ne sait pas ce qu'est l'initiative.

L'initiative est en réalité assez simple : c'est la possibilité pour un pays de lancer une attaque, et tant qu'il parvient à la conserver, il peut attaquer indéfiniment, même en ne faisant aucune conquête : il lui suffit d'être toujours en train d'attaquer une région, et c'est ce à quoi l'espagne tente de jouer depuis plusieurs jours. En clair, tant qu'un pays est en train d'attaquer il peut perpétuellement attaquer même s'il perd, ce qui est stupide, mais c'est le jeu.

Le seul moyen de gagner l'initiative de l'attaque c'est de sécuriser une région sans qu'il n'y ait d'autres batailles ouvertes. C'est en ce sens que des retraites ont été opérées avant la fin de la bataille de Picardie. Pour reprendre le dessus. Seulement, ça ne fonctionne pas, parce que les serveurs ont du lag, parce que les ordres présidentiels mènent au poulet sans tête, parce que le président espagnol est un nolife connecté à toute heure du jour pour lancer une attaque.

Aussi, il nous reste deux possibilités pour reprendre nos régions, par la reprise de l'initiative : qu'un autre pays attaque l'Espagne, ou n'avoir qu'une seule région attaquable. Bien entendu, personne ne veut se mouiller pour nous, le Brésil nous ignore depuis des semaines, alors qu'il a largement la capacité de le faire, aussi il nous reste la stratégie dite de la dernière région.

Elle est simple, mais radicale. Avec une seule région attaquable, il est impossible pour l'adversaire de conserver la fameuse initiative, puisqu'il ne peut pas lancer de nouvelle offensive avant la fin du compte à rebours, et si cette dernière région est sécurisée, alors le pauvre pays opprimé peut se lancer dans la reconquête de ses régions.

Bien entendu, cette stratégie, nos amis de phoenix, et en particulier l'Angleterre, n'en veulent pas, parce que notre retraite ouvrirait la route à l'Espagne, seulement, nous sommes depuis des semaines seuls, aussi il est temps de mettre à profit notre dernier avantage ; la France est le passage entre toutes les régions stratégiques d'Europe de l'ouest, et si nous ne faisons rien, celle-ci tombera.

Pour ma part, je suis totalement favorable au fait de mettre la pression à nos anciens alliés, maintenant que nous en sommes rendus à envisager de telles extrémités : s'ils ne nous aident pas, c'est la Croatie qui se partagera notre bois avec l'Espagne, et la Pologne qui passera à travers nous pour aller chercher du fer au Pérou par l'Espagne puis le Venezuela. Si nous ne faisons rien, si nous ne battons pas à mort pour des gens qui ne daignent même pas donner une seule consigne d'aide pour nous, et nous laisse crever à petit feu, c'est Phoenix lui-même qui se retrouve en danger. Si nous ne pensons qu'à nous comme d'autres ne pensent qu'à leurs conquêtes en Asie, dans six mois l'europe parlera Polonais, espagnol et croate, de l'écosse à l'oural.

Et si nous le faisions ? Notre position géographique est notre dernière carte, jouons la !


Si comme moi vous en avez marre, votez, et amenons ça en top 5 international !

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