Allegro Cantabile #1 (25 commentaires !)

Day 2,598, 06:03 Published in France France by Emerodh





Voilà, nous y sommes, j’y suis, je ne pensais pas sortir vivant d’un tel combat contre gimp, qui s’est finalement soumis devant mon acharnement, après des tentatives désespérées de sabotage. Ainsi je vais vous soumettre le premier numéro de mon journal, que j’espère entretenir, pour le plaisir de certains d’entre vous qui pourraient s’y attacher.

Pour ce premier numéro, j’espère beaucoup de votre retour à chacun, sur le contenu, les sections et le thème graphique, j’y es mis du mien, et je ne compte pas me reposer sur le fait accompli. De plus, je suis en pleine mission des 25 commentaires, n'hésitez pas !

Des grands remerciements à Miltiados, au SM et la Cosca qui étaient là lors de mes premiers pas et qui le sont toujours. Une dédicace à Tonton Lib et LucieDAC (keur keur) !

Une petite pensée pour Mr.Monsieur, tombé pour multi, et avec qui a avorté le Centre d’Obs.

Bonne lecture !




1. [BIZU] Article de Bizutage de la Cosca !
2. [COSCA] La Cosca, rejoignez-nous !
3. [MAFIA] Le point Mafia
4. [FUN] Une photo ou une blague ou un échange ou même plusieurs (en même temps)!
5. [MATHS] Un problème avec récompense à la clé (XLV, toi pas jouer) !



Depuis tout petit, mes parents n’ont cessés de me dire que la famille c’est sacré. Malheureusement, la vie est courte et précaire, ils sont partis.
Je pense qu’il faut lui donner un sens à cette vie, notre vie, même si ça semble au premier abord dérisoire : à quoi bon ? Après tout, nous sommes voués à disparaître, l’essentiel serait de laisser une empreinte, de marquer les gens (non, non, pas forcément au fer rouge). En bref, il faut accomplir des grandes choses (même si on en possède déjà, des gros machins…)!
Gros comme ça même si là c'est un peu raté...


J’étais tout frétillant quand le Padre avait décidé de me confier une mission importante : je m’en allai traiter avec nos amis russes sur une commande spéciale !
Illico presto, je pris l’avion pour rejoindre mon contact à Moscou. Après un vol tranquille (en classe affaire, en plus de toutes ses qualités, le Padre est économe !) et avoir dragué les hôtesses (et les stewards, c’est rigolo et comme ça, pas de jaloux), alors que je récupérais ma valise dans le terminal, le ciel me tombe sur la tête ! Chemo, che bella ! Une russe magnifique m’aborde et chuchote :
« Forza »
Coglione que je suis, resté au moins dix secondes, la bouche ouverte comme le pire des imbéciles avant de répondre :
- …Cosca !
Santa Madre, elles n’ont pas idée les russes d’être si belles, c’est autorisé au moins ? Ainsi, cette charmante demoiselle était notre contact auprès de nos confrères russes.

*-*


Elle me fit monter dans une limousine qui nous attendait à la sortie de l’aéroport, un peu en retrait, s’installa avec moi à l’arrière avant de lancer ce qui semblait être un ordre au chauffeur. Elle entreprit ensuite de me faire la conversation et me présenter en français la ville au travers des vitres (si quelqu’un connaît quelque chose de plus mignon qu’une russe qui parle français, qu’il m’appelle, les chatons ne comptent pas). Après cette ballade en territoire inconnu, la voiture s’arrêta devant l’hôtel qu’on avait gracieusement réservé pour moi.
Ainsi donc, je déposai ma valise sur le lit, vérifiai le Beretta caché sous le coussin, comme c’était prévu puis entrepris de fouiller la chambre (sécurité oblige), c’est ce moment que choisis la réception pour faire sonner le combiné de chambre :
« Mr, une jeune femme vous attend pour dîner », bredouilla le réceptionniste en anglais.»
Tiens, pourtant je n’attendais personne. Qu’importe, j’avais fini mes affaires et qui que ce soit, s’il avait voulu me tuer, je ne serais plus là pour en parler (en plus c’était une femme, ça aurait pu être vraiment pire). Veste sur les épaules, Beretta à la taille, je descends alors pour ne pas faire attendre ma mystérieuse invitée. Chemo ! C’était le contact, évidemment !


J’ai ainsi pu goûter à un peu des traditions culinaires et spécialités du restaurant de l’hôtel (après tout, j’étais invité) et me ravir de l’accent de mon hôtesse - Diana , j’eus appris - , quoique je fus moins concentré sur sa voix que sur certains détails plus… physiques (vous auriez vu sa robe mama mia !). Bien évidemment, nous n’aurions pu nous séparer sans boire un dernier verre dans la chambre, je vous laisse deviner comment donc s’est terminée cette soirée (sachez juste qu’elle était étonnement endurante).

Mh mh, passons. Le lendemain, après cette dolce notte, le chauffeur passa me récupérer devant l’hôtel et me conduisit en périphérie de Moscou, avant de s’arrêter devant un entrepôt d’une zone industrielle, où attendait Diana. Enfin, le buisness commençait.

On aimerait y habiter !


Je me retrouvais donc dans cet entrepôt, la belle derrière moi, un capo flanqué de ses gorilles devant, le premier assis à une table, devant laquelle se trouvait une chaise encore vide. Je m’assis et nous fîmes ce que nous avions à faire : arrangements sur les dates, fixation des taux, discussion de la marchandise et organisation du transport. Alors que je me levais de ma chaise pour repartir, après avoir rangé les papiers dans ma mallette, il me saisis brusquement le bras, et la situation devenait de plus en plus tendue au fur et à mesure de ses paroles :
« Maintenant, parlons de la commande spéciale, celle pour laquelle je voulais vous voir en personne », articula-t-il, ses yeux plantés dans les miens.
Ouh, ça sentait le parmesan d’un coup, et les pasta brûlées l’instant d’après :
« Alors, écoutez bien, dit-il d’un ton grave, il nous faudrait trois calzone, une peperonni et quatre margarita.»
- Quoi ?, répondis-je, surpris
Des pizzas bambino !, finit-il par hurler.
Je sentis alors du mouvement derrière moi et vis l’éclair sombre d’une arme quand l'un des gorilles me faisant face écarta un pan de sa veste pour porter la main à sa hanche. Alors, sans hésitation aucune, je dégainai mon Beretta, visai et tirai entre les deux yeux du capo, toujours assis lui. La déflagration résonna longtemps, trop longtemps dans le vide entrepôt. C’est alors que tous se mirent à rire autour de moi. Un parfait zubbo, j’avais des balles à blanc. Je me retournai alors furieusement vers Diana, la salle cazza, qui d’autre aurait pu saboter mon arme ! C’est alors qu’un sombre personnage sortir de l’ombre, rit aux éclats, et je pris instantanément conscience de la vaste supercherie, ainsi que de ma naïveté sans borne :
« Ahahahaha, picciotto ! Tu t’es fait avoir ! », le Consigliere riait à s’en étouffer, c’était probablement lui qui avait réellement effectué le travail dont je croyais devoir m’acquitter en venant ici.
Cette initiation machiavélique restera à jamais gravée comme une leçon d’humilité dans mon arrière-train.

Un sacré blagueur celui là !


Quoi qu’il en soit, la Cosca, c’est des hommes d’honneur mais avant tout de joyeux larrons !
Il n’y a pas de mafia, il y a la famille ; aide-toi et la Cosca t’aidera ! Viens, on a des pizzas !
A Miltiados et aux autres, il mio amore, Forza Cosca !



La Cosca, c'est bien plus que la mafia, c'est une famille, une grande famille, qui, de temps à autres, fais des affaires, c'est vrai, mais avant tout des hommes et des femmes d'honneur !



Pour ouvrir ce premier point mafia, un homme et pas l'un des moindres : Frank Costello !

Aussi surnommé The Prime Minister, en raison de sa volonté de préserver la paix devant la guerre et de ses nombreuses relations politiques new-yorkaises. Mafieux italo-américain du XXè siècle, il s'est hissé au plus haut rang de la cosa nostra étasunienne : capo di tutti capi. Figure du grand banditisme et d'une mafia d'honneur, parrain de la famille Luciano, il est l'un des mafieux les plus respectés et influents de l'histoire, allant jusqu'à inspirer le Don Vito Corleone dans la trilogie Le Parrain.




La conversation de la semaine, est un échange entre Tonton Lib et moi-même, faut de mieux, pardon, pardon :

Emerodh : Tonton, comment je peux dominer le monde ?
Liberticide : Passes ton eBac d'abord.
E : Mais je suis un adulte maintenant !
L : Oui bah... Vas jouer !

Liberticide saura-t-il faire face à ses responsabilités et un neveu insolent ? Nous ne le saurons peut-être jamais...


En cette période de fête, une petite image qui pourra amuser les joueurs :

Crédit : Trolls de Geek



Alors, voyons voir si vous avez été de bons élèves pendant l'année écoulée ou si vous avez de bons restes de votre temps passé sur les bancs de l'école. Trois problèmes vous sont posés, chacun d'un niveau spécifique, récompensé respectivement de 10, 20 et 40 FRF. Une seule participation, tentez celle qui correspond à votre niveau ! Pour participer, c'est simple : choisissez un des trois problèmes posés et envoyez un MP avec votre réponse ! Par exemple, moi, Bobby, je tente de résoudre le problème 1, j'envoie alors un message privé avec comme titre "Problème Maths Niveau 1" et ma réponse !

Niveau 1 (10 FRF): Résoudre 5x - 4 = 3x + 2

Niveau 2 (20 FRF): Mettre sous forme algébrique (2 + i)(3 - i)

Niveau 3 (40 FRF): Résoudre l'équation différentielle 5y' + 10y = cos t (t'a vu XLV, j'ai pensé à toi, tu peux la faire celle-là, je verrai pour le prix)

Comme l'ont dit et le disent mes profs de Maths : c'est bien payé ! N'ayez pas peur de vous battre !