La majorité gouvernementale ne tient plus qu’à un siège !

Day 126, 08:11 Published in France France by Leon Blum

A une semaine des élections, et après une succession d’affaires qui ont littéralement érodé la majorité gouvernementale, on s’aperçoit aujourd’hui que la majorité est sur le point de craquer au parlement.

Petit rappel des faits : Cicero est élu président de l’eRépublique française le premier février 2008, il a derrière lui 9 parlementaires élus de son parti pour le soutenir dans l’application de sa politique. 9 cela ne suffit pas pour être majoritaire à l’assemblée. C’est logiquement qu’il va donc tendre la main à ce qui semble être ses plus proches collaborateurs, les élus de l’IDE.
Tout de fois surpris que ceux-ci ne récoltent qu’un seul ministère, à la charge de Guibrit, l’alliance gouvernementale peut fonctionner et la machine des réformes se mettre en place. On a ici une entente de 16 élus sur un ensemble de 27, la majorité requise est donc de 14 parlementaires.

Mais bien des drames ont secoué cette machine qui apparaissait bien huilée au départ (nomination d’un gouvernement, mise en place d’un vote de confiance, très bonne communication les premiers jours). Nous ne reviendrons pas sur ceux-ci, mais sur leurs conséquences : Cicero ayant démissionné, un siège est vacant à l’assemblée et passe donc à un total de 26. De plus, Dino, l’élu de la circonscription toulousaine, est passé du LEDD au PP. On a donc une majorité de 14 élus… sur 26, soit à un siège du blocage. Si l’on compte le devoir de réserve du président par intérim Evohe qui siège toujours à l’assemblée, la majorité n’est plus majoritaire au parlement.
Certains élus IDE affichant leur mécontentement vis-à-vis de la politique gouvernementale, la majorité pourrait bien devoir compter sur le soutien du seul élu du PLL, ou sur son ancien élu passé au PP. Le PLL qui ne pousse malheureusement pas en nombre d’adhérents, pourrait une nouvelle fois tirer son épingle du jeu et continuer dans la dynamique positive des municipales en s’imposant d’avantage au parlement pour la semaine qui reste.

Un autre problème se pose : le LEDD semble se maintenir comme le parti politique ayant le plus d’adhérents, ce qui pourrait en faire les outsiders des élections générales de la semaine prochaine et ainsi permettre à… Evohe, de devenir légitimement président de l’eRepublik française. On devrait donc repartir sur 30 jours d’entente gouvernementale avec le LEDD et Evohe à sa tête. On ne peut pas nier une forme d’immobilisme de la machine LEDD au gouvernement, et on remercie nos camarades de l’IDE de faire bouger un peu les choses. Aussi je m’adresse aux électeurs du LEDD, dans 7 jours, pour votre ePays, abstenez vous…